décroissance

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Autonomie alimentaire? 250m2, 25mn/jour pour nourrir une famille de 4personnes

La recommandation habituelle est de réserver une surface de 200 à 250 mètres carrés pour nourrir une famille de 4 à 5 personnes (donc environ 50 mètres carrés par personne)

 

http://www.la-consoude-au-jardin.fr/quelle-surface-pour-un-potager.html

http://www.autarcies.com/index.php/3-lalimentation-le-jardin

https://dcroissance.blog4ever.com/blog/articles-cat-443006-529172-autonomie_alimentaire.html

  •  Quelle surface est nécessaire ?
  • Quel régime alimentaire adopter ?
  • Comment gérer l'hiver ?
  • Quelle quantité de surplus faut-il prévoir pour le troc de ce qu'on ne produit pas soi-même ?
  • Comment gérer l'eau ?
  • Permaculture 

 

 

**Calculez la surface nécessaire pour vos besoins ici

 http://www.autarcies.com/index.php/1-la-terre-et-la-pierre/surface-n%C3%A9cessaire

 

**Autonomie Alimentaire : Il est possible de parvenir à réaliser entre 30 et 50 % de l'alimentation de base sur une période de 8 mois. Le plus difficile sera d'arriver à produire ce même pourcentage sur une période de 12 mois.... Il faudra apprendre à cultiver des précoces ou des plantes tardives avec et sans serres, à faire des conserves, des confitures, des produits séchès , des graines germées et autres..

https://dcroissance.blog4ever.com/blog/lire-article-443006-2142309-autonomie_alimentaire.html#.TuuE_ZLKXIs.facebook

  

 

**Choix et besoins alimentaires : comment définir les objectifs de votre potager et de votre verger.

http://www.autarcies.com/index.php/3-lalimentation-le-jardin/choix-alimentaires

 

 

 

  • SURFACE NECESSAIRE

Plusieurs paramètres doivent être pris en considération :
- La surface cultivable disponible et potentielle de votre terrain,
- La quantité d'eau naturelle potentielle (pluviométrie, capacité de stockage ou d'alimentation...)
- La fertilité naturelle de votre terre,
- L'exposition (soleil, ombre, vent) du terrain et de votre situation géographique (latitude, longitude),
- Le choix des plantes,
- Le degré d'autosuffisance que vous voulez atteindre,
- Le budget d'investissement initial (équipements, matériels et moyens disponibles),
- Les techniques de jardinage utilisées (traitements, associations, rotation des cultures),
- Le temps que vous pouvez y consacrer,
- Etc...

Selon l'édition trimestrielle de Rustica, série "Tout en un", Le potager, c'est facile ! (Février-mars-avril 2005), un jardin de 250 m2 pourrait répondre aux besoins d'une famille de quatre personnes.

 

La famille Baronnet vit pratiquement en autarcie depuis près de 25 ans sur un terrain de 3.800 M2 sur lequel 400 m2 sont consacrés au potager > http://generationsfutures.chez-alice.fr/vertueux/heol.htm


la maison autonome des Baronnet par caillouvert


 

 

Au delà de la surface du potager, il est nécessaire de disposer d'espaces complémentaires pour faire son compost, faire son bois, disposer de quelques arbres fruitiers, stocker l'eau...

 

Économiquement, un potager bien géré permet d'économiser deux mois de salaire au SMIC.
Comptez en moyenne 20 journées de travail cumulée pour assurer l'entretien d'un potager de 250 m2, ce qui fait en moyenne 25 minutes par jour.

La surface minimum pour l'autarcie

Un travail de réflexion proposé Par Philip Weber :

 

Mieux vaut :
une portion de légumes avec de l'amour,
qu'un boeuf gras avec de la haine.
(Proverbe Français)

Pour calculer la surface minimum nécessaire pour pouvoir s'organiser en autarcie, on peut partir du principe (généralement admis) que notre corps a besoin de: 15% protéines, 25-30% lipides et 55-60% de glucides pour avoir une alimentation équilibrée.


En subdivisant ensuite les aliments en 8 groupes: céréales, légumineuses, légumes, pommes de terre, oeufs, fruits, huile et noix.

Pour chaque groupe on calcule la moyenne de chacun des éléments constitutifs (protéines, lipides, glucides).

On mets le tout dans un fichier excel et cela donne les quantités de chaque groupe d'aliments à consommer quotidiennement (après quelques essais).

A partir de là, on extrapole les calculs sur 1 an et il suffit de multiplier le résultat obtenu par le rendement théorique de chaque culture en y ajoutant la part du diable (la ratés, les plantes malades...), la part des anges (pour les oiseaux, les insectes...) la part de la basse cour et la proportion nécessaire pour la reproduction...

 

Exemple: Une consommation de 200 gr de céréales par jour et par personne nécessite une production de 292 kg par an pour 4 personnes.
La production en agriculture bio varie de 3 à 6 tonnes de blé à l'hectare.
(100 ares = 1 hectare)
donc pour un rendement de 3 t/ha on a 30 Kg/are
292 / 30 = 9,7 ares soit 1000 m2 car il faut prévoir une marge pour les futures semences.
Cela donne 250 m2 de terrain à cultiver pour les céréales par personne.

 

Suite sur >> http://www.autarcies.com/index.php/1-la-terre-et-la-pierre/surface-n%C3%A9cessaire

 

 

  • Quel régime alimentaire adopter ?

 

Pour un régime végétalien il faut :

 

- des céréales (ou équivalent alimentaire de céréale, comme le quinoa, le sarrazin...) > http://fr.ekopedia.org/C%C3%A9r%C3%A9ale


- des légumineuses (haricots/lentilles/pois secs): Les légumineuses sont une vraie mine d’or au point de vue nutritionnel ! Saviez-vous que 250 ml (1 tasse) de haricots rouges, de lentilles ou de pois chiches cuits, contiennent en moyenne 16 g de protéi...nes, soit deux fois plus qu’un gros œuf cuit à la coque ? Et, qu’ils renferment environ 6 mg de fer, soit 3 fois plus que 250 ml (1 tasse) d’épinards crus ?

La plupart des légumineuses sont d'excellentes sources d’acide folique et de potassium, de bonnes sources de fer et de magnésium en plus de contenir des vitamines du complexe B, du zinc et du cuivre. D'origine végétale, les légumineuses sont dépourvues de cholestérol et constituent habituellement une source très élevée de fibres
>  http://fr.ekopedia.org/L%C3%A9gumineuse  

- des légumes & fruits > http://tous-les-fruits.com/index-fruits-sauvages.html

 

- des fleurs > http://coachingourmand.wordpress.com/2011/03/27/les-fleurs-se-degustent/ et liste des plantes comestibles >

  • http://www.hermeline-plantes-sauvages.com/ 
  • http://www.plantes-comestibles.fr/plantes-comestibles.php
  • http://www.couplan.com/fr/presentation/presentation.php

 


  • - Donc une parcelle au moins serait consacrée à une céréale (voire deux parcelles pour deux céréales...) : Une panifiable au moins (une variété rustique de blé par exemple) et une autre pour varier sans demander trop de soins (sarrazin, Bretagne oblige). Semis en pleine terre en quinconce sous couvert végétal, espacé de plusieurs dizaines de centimètres de façon à ce que chaque grain de blé donne une grosse touffe de céréale et non une tige unique en compétition avec ses voisines pour la lumière.- Les haies vives entre parcelles sont plantées de fruitiers ou d'arbres utiles au jardin, d'oléagineux, & quelques arbustes mellifères.
  • - Un verger de tiges hautes.
  • - Un potager de légumes et fruits.
  • - Des légumineuses (lentilles, haricots secs, haricots à manger frais, fèves, pois chiches/pois cassés/petits pois, sojas).
  • - Un coin à condiments.
  • - Des "accessoires" sources de vitamines et de goût : églantiers (Rosa canina) et agrumes (citronniers au moins - si besoin de recours à la serre en hiver - les planter dans des bacs à roulettes). Je tenterais la culture de gentiane jaune (Gentiana lutea).


  AJOUTS PAR RAPPORT AU JARDIN STRICTEMENT VEGETALIEN :

  • Deux zones pour faire des bassins / viviers à poisson. Un seul bassin en eau à la fois. Chaque année, ou tous les deux ans, inversion de bassin.

Le bassin à sec, fertilisé par le limon est fréquenté par les poules et peut servir de source d'amendement.

Le bassin en eau (la vie aquatique appréciera l'azote des fientes) accueille des poissons rustiques & toute une faune qui s'invitera naturellement, pour le plus grand bénéfice du jardinier : grenouilles et crapauds, salamandres et tritons... Mangeurs de limaces et autres petites bêtes ennuyeuses. Sur chaque bassin, au moins un côté en pente douce pour l'accès à l'eau.

  • Poulailler de quatre ou cinq poules (voire plus pour distribuer - don ou troc). Les poules piochent leurs nourritures dans le bassin hors d'eau, aux abords de celui en eau, au verger (à tiges hautes), parmi les coquilles des huîtres que je pêche moi-même à marée basse, & dans le grain cultivé. Attention : les bassins sont recherchés par les rats, qui de surcroît apprécient les oeufs, voire la volaille... Etre très attentif aux lieux laissés en pâture aux oiseaux, rendre inaccessible aux intrus le poulailler / pondoir, et ne pas couper trop court les plumes des ailes !
  • Un coin pour les ruches, en lisière ou à mi-ombre, tournées vers le Sud-Est. Endroit choisi pour ne pas gêner le passage, ni risquer de perturbations de bruits, de la part des gallinacées notamment...
  • Deux points minimum pour le stockage sous terre (techniques traditionnelles gauloises). Le principe, pour les céréales : enfermées sous terre dans des récipients poreux, mais sans laisser d'espaces vides entre les récipients... Dès que quelques graines commencent à germer, elles libèrent du CO2 qui empêche la germination des autres graines et la venue d'intrus. Le système pour les légumes-racines : Le silo à racine ( http://www.onpeutlefaire.com/fichestechn…
  • Des châssis, voire une serre "hollandaise" (enterrée).
  • Un abri et l'espace nécessaire pour deux bêtes minimum dont une femelle au moins pour le lait.
  • Un point d'eau naturelles bassins de plantes aquatiques ont une bonne productivité : 1Kg de matière organique donne 10 Kg deplantes utilisable en engrais vert
  • Un tas de compost.
  • Des toilettes sèches et deux endroits pour la litière à composter bien distincts du compost qui peut aller au jardin potager (il peut y avoir des parasites ou des substances médicamenteuses indésirables au jardin). Deux tas pour en laisser un mûrir quand l'autre est en cours d'utilisation (d'une année sur l'autre, à voir).  

 

SUITE >> http://fr.answers.yahoo.com/question/index;_ylt=AsRe5PMjJhdibDQGkO5G4G04Agx.;_ylv=3?qid=20100704151805AA9i0zt

 

  • Objectifs alimentaires :

On se basera sur un objectif de production d'un kilogramme de nourriture par jour et par personne...
En diversifiant les plantations axées sur sept sortes d'aliments à raison d'environ 50 kg de chaque, cela donnera alors 350kg (en arrondissant donc, les 365 kg dont on a besoin, chacun)

- 50 kg de céréales (blé, orge, seigle, maïs, avoine, etc...) cultivés sur 100m2 avec 1,5 kg de semences.
- 50 kg d'oléagineux (noix, noisettes, graines de courge, tournesol, pavot, colza, etc...) cultivés sur 100m2 avec ... semences (sauf arbres = vivaces)
- 50 kg de pommes de terre (+ autres tubercules, châtaignes, etc...) cultivés sur 20m2 avec une centaine de plants de pommes de terre p.ex.
- 50 kg de fruits (pommes, poires, raisins, etc...) cultivés en vivaces sur environ 100m2.
- 50 kg de choux (divers y compris rutabagas, navets, etc...) cultivés sur environ 20m2.
- 50 kg de légumes (carottes, oignons, poireaux, céleris, etc...) cultivés sur environ 15m2.
- 50 kg de légumineuses (haricots, pois, (secs) etc...) cultivés sur 200m2 avec 2 à 3 kg de semences.

NB: ces chiffres ont été proposés par Geispe (Après Pétrole)

  • Comment gérer l'hiver ?
  • -Ce qui se conserve naturellement : pommes, oignons, pommes-de-terre, potimarrons et autres cucurbitacées comestibles (attention beaucoup de gens plantent des choses qui sont seulement destinées à la décoration), les noix en tous genres et châtaignes, les légumineuses (la quantité nécessaire est inférieure à celle des céréales)...
  • - Ce qui doit être stocké spécialement : végétaux (voir silo à racine et silo à grain décrits plus haut), produits animaux (miel de préférence en rayon + peut-être poisson fumé...).
  • - Ce qui doit être transformé /conservé : Toutes les conserves de légume, tout ce qui sera lacto-fermenté (le choux qui devient choucroute...), tout ce qui aura été mis à sècher (les condiments et plantes médicinales, pour tisanes et autres...), les compotes ou confitures, éventuellement des jus de fruits (cuits, ou fermentés -alcool- , ou lacto-fermentés)...

Précautions préalables : 

-sélectionner les légumes qui ne pourront hiverner et les consommer, stériliser ou surgeler ;

-choisir des variétés adaptées aux récoltes tardives ;

-planter plus tardivement : en effet, plantés au printemps pour hiverner, les carottes se crevasseront,

-les choux-navets ou raves seront fibreux, les céleris à côtes monteront à graines etc.)

  • Hivernage au jardin : il convient pour les plantes condimentaires en général ; concernant l’estragon, la sarriette, le basilic et les plantes plus sensibles à un gel important (-8°), les nettoyer, les butter, les rabattre avant les gelées et les protéger par de la paille ou des feuilles mortes maintenues par un treillis.

Les légumes d’hiver comme :

-les poireaux sont sans problème ; veiller à les pailler, ce qui empêchera le durcissement du sol en cas de fortes gelées.

-cerfeuil, mâche, épinard seront semés en août ; fin octobre, penser à les recouvrir d’un tunnel plastifié pour les retrouver facilement sous la neige.

 -choux verts et de Bruxelles, choux beurrés sont sans problème

 -choux de Savoie, de Milan, brocolis plantés tardivement en variétés tardives ne demandent pas de protection ; mais veiller à donner un coup de bêche à environ 15 cm du légume et à faire basculer la pomme vers le nord, (ceci pour éviter une différence trop grande entre la pomme réchauffée au soleil et la racine toujours gelée).

  -salsifis, carottes, rutabagas, scorsonères peuvent hiverner sur un terrain sain jusqu’en mars, mais il faut faire attention aux rongeurs et veiller à enlever le feuillage dès les gelées et à les pailler.

  -le persil semé tardivement résistera mieux au jardin.

 **Un conseil pratique pour en avoir longtemps : enlever quelques racines, enlever les feuilles en ne gardant que le cœur, empoter ces racines qui développeront de nouvelles radicelles ( pot de 12 à 14 cmØ),rentrer les pots vers la Toussaint dans un endroit à 5-6 °

  • Hivernage en serre : Il nécessite quelques précautions : n’hiverner que des légumes sains, entiers, à complet développement. Il faut veiller aussi à aérer la serre le plus souvent possible, à la fermer en cas de gelée et à recouvrir alors la tranchée d’un paillasson.


On procède de la façon suivante : en serre ou en coffre extérieur, ouvrir une tranchée de 30 cm de profondeur sur 80 de largeur, mettre la terre sur les côtés comme protection.

On y hiverne les foliacés : les endives et scaroles sont arrachées avec la racine et replantées dans la tranchée après que les vieilles feuilles ont été enlevées. On fait de même avec les laitues (pommées, romaines, batavia), les céleris à côtes et à jets, les choux rouges et blancs dont on ne garde que la pomme et qu’on repique en oblique.

Pour le céleri-rave, l’arracher avec la racine, enlever les feuilles du pourtour pour ne garder que les jeunes feuilles intérieures.

N.B. : Le céleri à côtes, qui a été blanchi et donc privé de lumière ne se garde pas longtemps

On hiverne aussi dans cette tranchée les légumes racines, tels les navets, carottes, salsifis, scorsonères ; il faut supprimer le feuillage au-dessus du collet


Endives et scaroles –avec leur motte- se conservent dans une caisse contenant de la terre. Les choux, bien développés, se conservent soit sans le pied, sur de la paille soit avec le pied, suspendus la pomme vers le bas.

Les céleris-raves, avec leurs racines, mais sans feuillage- seront disposés sur de la terre.

Les pommes de terre se conservent jusqu’à la nouvelle récolte sur palettes, dans des caisses en bois ; dès décembre, veiller à écarter les mauvaises et à enlever les jets.

Si on ne dispose pas d’une bonne cave voûtée, on peut creuser une tranchée dehors, y mettre les légumes-racines dans une manne en plastique ou une poubelle qu’on aura perforée,  la recouvrir d’une protection contre les intempéries et ensuite d’un paillis ; on peut aussi entreposer les légumes-racines dans une caisse en frigo lite recouverte d’un paillasson dans une annexe ou remise dont la température ne dépasse pas 12 degrés.

Les potirons et potimarrons se conservent jusqu’en mars s’ils sont arrivés à complet développement (pris environ au début octobre), et s’ils ont leur pédoncule.

 

2.  Conservation des fruits : pommes et poires seules se conservent.

Ø  Seules les variétés d’automne et d’hiver se conservent, à condition de respecter certaines précautions.         

  • Variétés d’automne :   les cueillir au bon moment qu’on reconnaîtra à plusieurs critères :


¨      quand 2 ou 3 fruits tombent à terre de façon naturelle,

¨      quand la couleur et le volume des fruits sont normaux,

¨      quand une petite pression suffit à détacher le fruit,

¨      quand les pépins sont bruns.

les cueillir avec le pédoncule et les déposer précautionneusement

les cueillir en 2 temps, à quelques semaines de distance pour que les derniers fruits se gorgent de vitamines.

Variétés d’hiver : les cueillir le plus tard possible (ainsi la comtesse de Paris est à peine mûre en février).

  •   Comment hiverner ces fruits ? 

-        Ne conserver que des fruits sains (sans maladie et sans vers), sans humidité ( les faire ressuyer au préalable si nécessaire), avec le pédoncule.

-        Les placer sur clés ou dans des cageots propres ( les laver et désinfecter éventuellement ), sur un seul lit ; les poires seront disposées sur la mouche et les pommes sur le pédoncule.

Ø    La vigne en serre se conserve jusqu’à la Toussaint sans problème ; si le raisin n’est pas encore tout à fait mûr et que la serre doit être fermée, couper la grappe en laissant un sarment d’environ 10 cm et le placer dans une bouteille remplie d’eau.

 

  • la conservation des fruits et légumes:

- [Fiche Tech.] Fabriquer un silo à racines :http://www.onpeutlefaire.com/forum/index.php?showtopic=4043


- conserver les aliments:

http://www.onpeutlefaire.com/forum/index.php?showtopic=3779

www.anancy.net/documents/file_fr/French_Leaf-08.pdf

 

la conservation par le séchage et plus précisément :

  • les déshydrateurs, avec les comparatifs et les modes d'emploi > http://www.cfaitmaison.com/culinaire/sechage.html#deshydrateur
  • les séchoirs solaires >

http://www.cfaitmaison.com/culinaire/sechage.html#solaire

http://www.terrevivante.org/87-construire-son-sechoir-solaire.htm

http://www.onpeutlefaire.com/fichestechniques/ft-12-artisans.php#sechoir-alimentaire-solaire

  • des recettes de séchage ou dessiccation > http://www.cfaitmaison.com/culinaire/sechage.html#recette-sec

http://www.cfaitmaison.com/culinaire/sechage.html

 

- Fruitiers: taille & conservation fruits:

http://www.onpeutlefaire.com/forum/index.php?showtopic=4080

http://www.onpeutlefaire.com/consommation-et-alimentation


- Rafraichir sans moteur : http://www.onpeutlefaire.com/forum/index.php?showtopic=3655

 

- Faire ses conserves maison :http://fr.ekopedia.org/Conservation_des_aliments , http://www.supertoinette.com/fiches_recettes/fiche_conservation.htm , http://www.cfaitmaison.com/culinaire/conserve-sucre.html

  • La conservation en place
    Elle est possible pour certaines espèces potagères avec des variétés choisies en conséquence.
    -Plantes basses (mâche, laitue, chicorée, carotte, etc...) : les protéger des gelées blanches à l'aide d'une légère couche de fougère sèche ou de paille ou, à défaut, d'un "voile d'hivernage" en plastique.
    - Plantes hautes (choux, poireaux, etc.) : les butter avant l'hiver, puis procéder comme avec les plantes basses.
    - Les plantes suivantes peuvent se conserver l'hiver en pleine terre (sauf températures exceptionnellement basses) : carotte (avec protection, sauf près du littoral), chicorée sauvage, chou pommé d'hiver, chou vert frisé, chou de Bruxelles (variétés tardives), cresson de jardin, mâche, navet (blanc dur d'hiver), panais, poireau (variétés d'hiver), salsifis, scorsonère, topinambour.
  • La conservation en silo
    Recouverts de paille, avec cheminées d’aération.C'est une excellente façon de conserver les légumes-racines (betterave, carotte, céleri-rave, navet, panais, chou-rave, rutabaga, radis d'hiver). Le meilleur silo est un simple trou creusé dans la terre et tapissé de planches ou de briques.
    On peut aussi enterrer un vieux tambour de lave-linge ou une lessiveuse percée de quelques trous : les légumes sont ainsi protégés des rongeurs. Le silo peut également être réalisé au-dessus du niveau du sol mais la protection contre le froid et les rongeurs est moins bonne.
  • La conservation en cave
    Il faut disposer d’une bonne cave voûtée ; les légumes -racines se conservent dans une caisse en bois contenant du sable de Rhin ou de la tourbe sèche ; au préalable, on leur enlève le feuillage au-dessus du collet  On procède de même pour les canas et dahlias.Placer les légumes-racines dans des récipients contenant de la tourbe ou du sable. Ils s'y conserveront aussi longtemps qu'en silo si la température n'est pas trop élevée (8-12°C maximum) et si l'humidité est suffisante. Des choux ou des scaroles récoltés avec leur motte se gardent quelques semaines en cave.
  • La conservation en grenier
    Ou dans une remise.
    Concerne tous les bulbes, haricots secs. Le gel ne les détériore pas. mansarde ou abri de jardin : il convient pour les bulbes : ail, oignons, échalotes, en caisse, recouverte d’un paillasson en cas de très fortes gelées, pour les plantes condimentaires et les bottes de thym, suspendues.
  • La conservation dans la maison
    Elle ne convient qu'au potiron et à la courge musquée, qui craignent plus le gel que la chaleur.

 

Tous les modes de conservations impliquant une source d'énergie permanente sont écartés : le froid du réfrigérateur et du congélateur.

 

  • Surplus et troc pour ce qu'on ne produit pas soi-même


1) Il y a des choses qui demandent peu d'efforts, qui sont très utiles & ne se perdent pas, comme le persil. Cela pousse et repousse toute l'année & une botte -pleine de vitamine C- vaut plus qu'une salade.

2) Proposer aux gens de venir cueillir les fruits et legumes sur place

3) Les châtaignes et noix en tous genres se conservent une année et peuvent servir de semence. Il est très facile de les échanger telles qu'elles, ou de les faire broyer en farine ou en huile.
4) Le troc de nourriture peut se faire contre des choses qui ne se mangent pas !
Sites de troc :
https://dcroissance.blog4ever.com/blog/lire-article-443006-4056001-site_d_achat_troc_de_fruits_et_legumes__plantes__g.html#.Tw69Lvr6C78.facebook

 

 

 

  • GESTION DE L'EAU :
  1. Choisir des plantes rustiques adaptées au biotope ou au moins au climat local (demander des plants au paysan bio du coin) de façon à ne pas se retrouver obligé d'arroser (sauf sècheresse). 
  2. Garder le sol couvert, toujours (jamais à nu, pour la préservation de la micro-faune et l'humidité).BRF.
  3. Garder en mémoire qu'un binage = deux arrosage (le binage fractionne la terre de surface, limite la capillarité / perte d'eau par évaporation).
  4. En cas de nécessité, introduire dans le jardin une eau propre qui ne vienne pas du réseau (source locale, rivière proche...) pour ne pas chlorer les plantes / aliments, ne pas les fragiliser. 
  5. Former des talus et fossés pour diriger l'eau du terrain vers les cultures ou les arbres (osier, argousier, bouleau...) qui en ont le plus besoin.

Si l'habitation est proche et que l'épuration des eaux grises se fait végétalement, l'eau qui en sort peut resservir, mais pas au potager. Le potager bénéficiera des eaux pluviales.
  •  COMMENT PREPARER SON TERRAIN
  • Quelle est la nature de votre sol ?

C'est essentiellement une question de quantité d'argile ou de sable présent dans le sol et qui le rend plus ou moins compact...

Une terre lourde qui contient plus de 20 à 25% d'argile est une terre compacte mais fertile. Le sol est alors collant et un peu difficile à travailler.

A l'inverse un sol sableux qui contient plus de 70% de sable, sera plus léger et facile à travailler, mais se dessèche rapidement en été...

  • Un sol calcaire contient env. 30% de calcaire : léger mais s'il manque trop d'argile il est moins fertile.
  • Un sol humifère : beaucoup de matière organique (terre de forêt p.ex.) léger et fertile...

On peut déjà voir quel est le sol que l'on a en regardant sa structure et en le travaillant, mais aussi en regardant ce qui y pousse naturellement :

  • Sol argileux : liseron, armoise, oseille, pissenlit, tussilage, graminées...
  • Sol calcaire : moutarde, coquelicot, bleuet, chardon, renoncule, trèfle blanc, camomille...
  • Sol sableux : digitale, ajonc, genêt, fougère, bruyère,
  • Sol humifère : bruyère, genêt, mousses, joncs et carex, roseaux, selon le cas ronce aussi...
  • Les sols humifères sont souvent acides : bruyère, fougère, petite oseille, châtaignier, myrtillier (p.ex. terre de bruyère, tourbe)
  • Les sols calcaires sont plutôt alcalins : centaurée, lavande, tussilage, sureau (terreau)

La meilleure terre se situe entre les deux :-)


A choisir entre une bonne terre et un bon emplacement (ensoleillé, à proximité d'un point d'eau...), il sera toujours préférable de choisir un bon emplacement car s'il est toujours possible d'améliorer une terre, il est impossible de changer l'emplacement...

Le potager idéal doit pouvoir être bien drainé (c'est à dire non boueux après une forte pluie), à l'abri du vent et bénéficier d'un ensoleillement direct d'au moins 6 heures par jour.

 

A voir aussi : les plantes indicatrices de la nature du sol > https://www.facebook.com/groups/111176688951953/doc/251311514938469/

 

  • Comment préparer sa terre avant de se lancer dans un potager ?

 

Retourner sa terre à la main peut-être un effort physique important, surtout si la terre n'a pas été travaillée depuis longtemps.

 

** Comment redonner vie à un sol inculte


 


Il y a plusieurs méthodes qu'il est possible de mettre en œuvre pour se faciliter la tâche si on ne dispose pas de matériel de labour :

  • Pendant l'hiver, on peut recouvrir le coin de terre d'une moquette, de cartons ou de tout support qui pourrait permettre d'éviter à la mauvaise herbe de pousser; par ailleurs le fait de mettre la terre au repos et à l'abri permet aux vers de terre de faire leur travail en surface. Après quelques mois, la terre est plus facile à travailler.

  • Autre technique : laisser la terre telle que sans la retourner, créer des box de planches (ou autre support) de 1,20 m de large pour surélever le niveau afin de placer à l'intérieur un peu de compost et du bois raméal fragmenté. Si vous pouvez surélever votre niveau de façon importante, en plaçant un grillage fin sous votre compost vous pourrez empêcher les taupes et autres bêbêtes de s'attaquer à vos plantations par dessous...

  • Selon John Seymour ("Revivre à la Campagne" une référence à lire) un cochon est un excellent laboureur, il suffit de le laisser quelques jours dans un carré à cultiver et le tour est joué... bon là d'accord, c'est un peu plus difficile... il faut avoir un cochon sous la main...


** Un jardin sans travail du sol par agrovideo

 

Sans engrais ni produits chimiques, récolter dans son potager de beaux et bons légumes sans s'être donné la peine de le bêcher ,labourer, biner, sarcler ni désherber : c'est possible ! Il suffit de donner un petit coup de pouce judicieux et naturel... à la nature.

playliste sur le sujet
http://www.dailymotion.com/playlist/xyu42_lumierecomune_la-terre-la-cutlver-explicatio
lien
http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://brico.ecolo.free.fr/Images/jardiner/jardi-shema.jpg&imgrefurl=http://brico.ecolo.free.fr/jardiner.php&usg=__DjgfPhdWC7vG3aiPRcnSk6F05ZM=&h=258&w=400&sz=35&hl=fr&start=68&um=1&itbs=1&tbnid=GIk_ORn5_6TA7M:&tbnh=80&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Decosysteme%26start%3D63%26um%3D1%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26rlz%3D1T4SKPB_fr___FR328%26ndsp%3D21%26tbs%3Disch:1

 

> https://www.facebook.com/groups/111176688951953/doc/252170508185903/

> Faire son potager bio : http://fr.ekopedia.org/Comment_cr%C3%A9er_son_potager_bio

 

  •  Permaculture /Comment enrichir votre terre, faire un compost ?


Une solution rapide et efficace si votre terrain est aride : achetez un broyeur de végétaux (à partir de 150 €), broyez tout ce que vous pouvez* en déposant le résultat de votre travail sur la surface de vos terres incultes.
Vous trouverez sur les liens suivant différentes expériences qui ont montré qu'il est possible de rendre un sol pauvre en sol productif à l'aide des bois fragmentés et du compost de bruyère. De plus vous pourrez faire de grosses économies en arrosage.

*... Quitte à proposer à vos voisins de leur nettoyer leurs terrains en friches.

 

 

 


Message Global par emiliegalan

 

Tout sur le BRF:

http://fr.ekopedia.org/Bois_Ram%C3%A9al_Fragment%C3%A9

 

Jardiner autrement : La permaculture, conseils et principes de base:

http://www.amazon.fr/gp/product/2737353580/ref=cm_sw_r_fa_alp_yubVob05W05MG

 

-Le Bois Raméal Fragmenté (dits BRF ou encore bois raméaux fragmentés) est le nom donné à un mélange de résidus de broyage de rameaux de bois frais (branches). Par sa couverture du sol et son apport en lignine, il favorise le développement d'humus qui permet de limiter, voire de supprimer, le labour, les apports d'engrais et l'irrigation.
>http://mili-terre.com/article/13/1100/le-bois-rameal-fragmente.htm
>http://fr.ekopedia.org/Bois_Ram%C3%A9al_Fragment%C3%A9

-Comprendre et utiliser le BRF (Bois Raméal Fragmenté). Premiers pas vers une alternative écologique d'importance dont l'utilisation doit être soumise à de nécessaires réflexions.
>http://dai.ly/dpnLUi

-Le festin du sol, une histoire de bois raméal fragmenté
>http://www.youtube.com/watch?v=coSnb27ZtqA

-AVec et sans BRF
>http://www.youtube.com/watch?v=6hUEV7nHyjs

 


-Masanobu Fukuoka et l'agriculture du non-agir
Sa méthode d'agriculture ne nécessite pas de labour, pas de fertilisants ni de pesticides, pas de désherbage ni d'élagage ainsi que très peu de travail!
>http://mili-terre.com/article/13/901/masanobu-fukuoka-et-lagriculuture-du-non-agir.htm
>http://www.citerre.org/fukuokamct.htm


-sites web

* http://www.info-brf.com/forum/index.php
* http://brfdelarbreausol.blogspot.com/
* http://www.dailymotion.com/mycelea
* http://www.facebook.com/group.php?gid=54...
* http://www.facebook.com/group.php?gid=32...
*http://facebook.com/elea.personne

Le jardin d'Emilia Hazelip

 

  • Vous vivez en appartement, vous n'avez pas de terrain !

 

... Si vous êtes jeune, avec des faibles revenus, habitant en centre urbain... Votre première démarche sera de trouver un terrain à la campagne, même non constructible.
Dans ces conditions vous pouvez trouver un petit coin de paradis à moindre frais. Trouvez un viager, une ruine ou même un terrain nu ! Prenez un crédit sur 40 ans à taux fixe pour minimiser les charges mensuelles ! Un endettement maximum n'a aucune importance, les institutions financières exploseront lorsque le Crash-Oil sera à son paroxysme.

On trouve des terrains non constructibles pour 1.000 € l'hectare !

> http://www.les-cabanes.com/vente-terrain.html

> http://www.les-cabanes.com/annonces-cabane.html

 

 

Par ailleurs toutes les réglementations en matière d'urbanisme et de permis de construire seront eux-aussi mis à néant le jour venu...
Vous pourrez alors y mettre la vieille caravane ou le chalet en kit que vous aurez achetés et/ou stockés en prévision.
Ce terrain pourrait-être votre destination de week-end et de vacances. En évitant des voyages ou des vacances trop lointaines à l'étranger, vous économiserez de l'essence ou du kérosène et vous participerez à la lutte contre le réchauffement climatique.
Évitez la proximité des centrales nucléaires : si vous pouvez  choisir, installez vous suffisamment loin. Avec le temps la dégradation de l'entretien des centrales pourrait devenir une réalité. 


Un petit conseil : en fonction des règles d'urbanisme locales, vous ne pourrez peut-être pas construire, mais vous pouvez être autorisé à faire un cabanon ou un petit chalet. Si c'est le cas, c'est déjà ça de pris. Par ailleurs, vous pourriez construire une cave avec une dalle, sous le couvert d'une future réserve d'eau. Dès lors que la construction est souterraine, selon la réglementation, vous pourriez ne pas être poursuivis et cet abri pourrait être utilisé pour stocker vos outils et matériaux et plus tard à vous servir de base de construction le jour venu, si entre temps le terrain devient constructible ou si après le crash-oil plus aucune autorité administrative ne sera là pour vous donner ou non quelque autorisation que ce soit...
Par ailleurs en investissant dans le durable, vous éviterez de creuser le déficit de la balance commerciale. Mieux vaut investir dans des graines et des outils de jardin que d'acheter un GPS ou un balladeur MP3 made in Taiwan !

**Autre solution extrême : si vous disposez d'un petit capital en France ne vous permettant pas d'acquérir la maison et le terrain nécessaire à vos objectifs, vous pourriez peut-être trouver à l'étranger une terre d'accueil qui puisse être à la portée de votre bourse. Dans cette optique choisissez un pays à votre image; en cas de clash social et économique, les tensions entre les différentes confessions et les différentes ethnies pourraient ressurgir...

**Une solution intermédiaire :
essayez de trouver dans votre voisinage des propriétaires (type personnes âgées ou autres personnes handicapées, sans enfants si possibles...) qui auraient un terrain en friche et à qui cela ferait plaisir que quelqu'un leur cultive des légumes dessus. Cela vous permettrait d'apprendre et par la même occasion de faire quelques petites économies... Un potager bien entretenu et bien suivi correspond à une économie équivalent à un SMIC... un treizième mois en quelques sortes...

 

Jardins disponibles > http://www.plantezcheznous.com

 

 

Plantercheznous.com est un site d annonces de partage de jardins jardins à prêter et de personne en recherche d un potager à entretenir. Basé sur la convivialité et le partage des récoltes, le site propose des offres de parcelles et des annonce de jardiniers.

 

Mettre en relation des personnes qui ont un jardin et qui rêvent d'avoir un potager mais qui n'ont pas le temps de s'en occuper, avec des personnes qui ont la passion du jardinage mais qui n’ont pas de jardin ou de parcelle à cultiver : voici le concept de Savez vous planter chez nous ? ...

 

http://www.plantezcheznous.com/

 

  Jardins Potagers à Louer : N'hesitez pas si vous avez un bout de terrain inutilisé à le proposer à la location.Parlez-en autour de vous pour aider ceux qui n'ont pas la chance d'avoir un jardin potager...

 

http://potagerbio.wifeo.com/jardins-a-louer.php



Autre solution alternative :

 

  • le regroupement en communautés écologiques. (Voir le réseau français des éco-villages  > http://www.rama.1901.org/ev/reseau.html#rfev)
  • Les jardins partagés : Annuaire > http://www.paris.fr/loisirs/jardinage-vegetation/jardins-partages/p9111 et http://jardins.wordpress.com/la-charte-main-verte/


  • Si vous n'avez qu'un petit terrain :

A moins de 250 m2 point de salut ! La solution est peut être de trouver un terrain annexe accessible à pied ou en vélo à proximité... ou de vendre ce que vous possédez pour acheter plus grand...
Si vous n'avez pas d'autres solutions, vous devrez exploiter toutes les idées qui permettent de cultiver en étages :
- Les superpositions (pneus, ronds de grillages...).
- Les suspensions...
- La culture en escalier sur un mur (les plantes grimpantes à placer sur tous les murs exploitables)...
- Dans un micro potager, ( http://www.fao.org/NOUVELLE/2002/020102-f.htm ) un casier d'un mètre carré installé sur des pieds en bois - dont la fabrication revient à environ 7 dollars - peut produire de 40 à 50 kilos de tomates par an

Des pistes à explorer :
- Cultures sur le toit  : Un guide pour vous aider  > http://rooftopgardens.ca/files/GUIDE_web_Todd_26avr07.pdf
- Cultures en sous-sol ou dans le grenier avec un puits de lumière !... (seule la lumière est indispensable pour pousser, il n'est qu'à voir certaines plantes dans les galeries de supermarché qui ne voient jamais la lumière du jour...)
- Cultures au pied des arbres fruitiers dans des socles amovibles (réfrigérateurs aménagés par exemples)

Si votre terrain est pentu, faites des planches en créant vos propres murets si vous n'avez pas de pierres à profusion...


Source >> http://www.autarcies.com/

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN >>

 

  • Autarcie Alimentaire

 >Autarcie alimentaire
     Les choix alimentaires/ Le potager/   Comment lutter contre les parasites / Conseils pratiques
     Le verger/La conservation/ Récolter ses graines /Le poulailler / Un mur végétal / Opération survie / Trucs et astuces / Faire son pain

http://sos-crise.over-blog.com/article-25993024.html

 

> Blogs de Geispe

"mon autarcie est une expérience motivée par la curiosité, mais aussi le fait que dans un futur proche nous ne pourrons probablement pas faire autrement, sans pétrole...
et j'ai la chance d'aimer un mode de vie de Robinson, comme d'autres aiment faire le tour du monde à la voile ou à vélo : je fais en permanence le tour d'un monde casanier..."

Cueillette, agriculture, cuisine de plantes sauvages, séchage et conservation des aliments ETC.

http://monotarcie.blogspot.com/

http://www.arpentnourricier.org/monotarcie-le-blog-de-geispe/

 

>le drapeau noir au fond du jardin

http://jardinnoir.4rumer.net/t38-essaie-d-autarcie-alimentaire

 

> Autonomie Alimentaire

https://dcroissance.blog4ever.com/blog/articles-cat-443006-529172-autonomie_alimentaire.html

 

> Revivre à la campagne

L'engouement actuel pour le retour à l'autarcie trouve son accomplissement et toutes ses réponses dans cet ouvrage très complet, illustré et éclairé de nombreux croquis explicatifs, rédigé par le " père de l'autosuffisance ". Quels sont les outils essentiels pour créer et entretenir son potager ? Comment tailler ses arbustes ? Comment presser l'huile de ses noix ? La meilleure méthode pour faire son propre beurre ? Que faire de ses inévitables déchets ? Comment se chauffer grâce au soleil, sans piles photovoltaïques ? Autant de questions parmi de nombreuses autres qui se résoudront en un clin d'œil en consultant ce livre, indispensable aux nouveaux pionniers de la vie moderne...

http://www.amazon.fr/dp/2844945384

 

Guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivées Guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivées de Couplan

http://www.amazon.fr/Guide-nutritionnel-plantes-sauvages-cultiv%C3%A9es/dp/2603017349/ref=dp_ob_title_bk

 

 

 

>> Jardinage alternatif

https://dcroissance.blog4ever.com/blog/articles-cat-443006-529157-jardinage_alternatif.html

 

Semences d'autonomie - Agroécologie et autonomie alimentaire sur les rives du Niger from Terre & Humanisme on Vimeo.

Le film "Semences d’autonomie" vous fait partager la manière dont Terre & Humanisme conjugue, avec ses partenaires africains, l’agroécologie dans un village malien pour tendre vers l'autonomie alimentaire et le respect de la terre.
Le DVD comprend quatre documentaires :
- Tacharane vers l'autonomie (18 min)
- Ici et là-bas, le potager agroécologique (7 min)
- Les graines de l'avenir (6 min) sur le Centre agroécologique de production de semences tropicales (CAPROSET)
- La transmission : écoute, partage et co-formation (6 min)

 


Ayllu TV visite le jardin collectif chez Louise par interayllu

Ayllu TV visite le jardin collectif chez Louise. Une belle expérience de permaculture des jardiniers du projet d'autonomie alimentaire Ayllu-Bouffe et des jardiniers de Côte-des-Neiges. Pour plus d'informations: interayllu.org. Août 2011.





14/01/2012
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