décroissance

décroissance

Récupérer l'eau de pluie : la loi, Fabriquer sa citerne, les petits récupérateurs

Pour économiser l'eau et ainsi préserver la ressource en eau, il est intéressant de stocker l'eau de pluie dans une citerne.

De plus, en milieu urbain les sols n'étant plus perméables (tout béton), si l'eau n'est plus systématiquement rejetée dans les conduites d'évacuation cela évite d'éventuelles inondations.

La réglementation sur la récupération d'eau de pluie

La gestion des eaux pluviales est régie par le Code Civil (articles 640-641-681), qui indique que "tout propriétaire a le droit de disposer et d'user des eaux pluviales qui tombent sur son fond", à comprendre sur ses terres. Toutefois cela ne doit pas être préjudiciable aux personnes situées en contrebas. Un particulier peut donc prévoir une installation pour recueillir les eaux de pluie à des fins personnelles, mais il est préférable de le signaler à votre mairie qui avisera s'il est nécessaire d'en faire une déclaration à l'ARS (Agence Régionale de Santé, anciennement DDASS).

C'est surtout, pour un usage extérieur qu'il est recommandé de stocker l'eau de pluie. Car l'eau ruisselant depuis la toiture ne respecte pas les limites de qualité réglementaires définies pour l'eau potable et peut contenir des micro-organismes pathogènes.

Pour les usages domestiques intérieurs, les limites sont importantes : d'une part les toitures ne doivent pas être en amiante-ciment ou en plomb ; d'autre part, l'eau collectée ne peut être utilisée que pour les WC et le lavage des sols. Pas question de la boire ou de s'en servir pour se laver !

Pour l'utilisation par le lave-linge, la législation reste assez vague et autorise l'eau de pluie de récupération filtrée à titre expérimental !

 

Attention, l'eau de pluie n'est ni pure ni potable, elle a subi la contamination des gaz, particules, aérosols provenant de l'activité humaine ; particules et pollutions urbaines issues des industries et des gaz d'échappement des voitures.

"La présence de robinets de soutirage d'eaux distribuant chacun des eaux de qualité différentes est interdite dans la même pièce, à l'exception des caves, sous-sols et autres pièces annexes à l'habitation. Les canalisations de distribution d'eau de pluie, à l'intérieur des bâtiments, sont repérées de façon explicite par un pictogramme « eau non potable », à tous les points suivants : entrée et sortie de vannes et des appareils, aux passages de cloisons et de murs. A proximité immédiate de chaque point de soutirage doit être implantée une plaque de signalisation qui comporte la mention « eau non potable » et un pictogramme explicite (Ministère de l'écologie, de l'énergie, du développemnet durable et de l'aménagement du territoire)

 

Crédit d'impôt

Un crédit d'impôt de 25% est accordé pour l'acquisition d'une citerne de récupération d'eau de pluie, installée par un professionnel, pour un usage extérieur, pour la résidence principale. La TVA passe de 19,6% à 5,5%, pour une maison de plus de deux ans.

Une cuve ou un bidon ?

En moyenne on peut récupérer 600 litres d'eau de pluie par m² de toiture. Les besoins annuels liés à l'utilisation de la chasse d'eau sont d'environ 8000 litres par personne.

Il faut pouvoir dimensionner votre système de récupération en fonction de la pluviométrie de votre région et de l'usage que vous souhaitez faire de votre eau. En effet, il existe différents types de cuves : béton, polyéthylène et acier que l'on peut enterrer ou reste le bon vieux bidon. Des pluies rares mais abondantes comme dans le Var exigeront une grande cuve pour récupérer un maximum d'eau lors des orages alors qu'en Normandie, par exemple, les pluies sont rapprochées mais de moindre quantité, un petit réservoir peut alors suffire. Pour information, voici des estimations réalisées par Sotralentz en France ...

 

Suite sur :

>> http://www.notre-planete.info/ecologie/habitat/recuperation_eau_pluie.php

 

  • FABRIQUER SON RECUPERATEUR D'EAU

 

Snickers a écrit:
Sûr que l'on peut passer des journées entières à chercher des cuves gratos. Moi, j'ai décidé de réaliser...il y a deux ans.
Je vous détail ma réalisation, si cela peut inspirer !

J'ai decidé de construire une réserve d'eau de pluie de 2300L pour plusieurs raisons:
- Mon aquarium nécéssite beaucoup d'eau douce (de faible dureté).
- Le prix de l'eau ne cesse d'augmenter
- Le lavage du linge s'effectue mieux avec moins de lessive si on utilise une eau très douce.
- Certains appareils ne néssécitent pas une eau "potable" pour fonctionner. toilette !

J'ai donc cherché un moyen économique de réaliser une réserve d'une bonne capacité en fonction de la surface de récupération (60 mètre carré).
Mon choix s'est porté sur un encadrement en bois pour allier l'esthétique et la solidité,
une veille moquette pour la protection de la bache à l'intérieur
une bache noire de 4 m X 4 m neuve de bassin de 2mm,
Un pot a bouquet et un soucoupe de pot pour réaliser le pré-filtre.

La première étape:
Le poncage et la peinture des lattes brut en sapin achetées de 2m40 et de 18mm d'épaisseur (Prix environ 8 E le mètre carré dans le magazin de bricolage locale) et coupé en deux pour obtenir 1m20 de hauteur.

La pose des latte en cercle...

Le cerclage avec du fil vert de maintien de grillage


la bache noire de 16 mètres carré (environ 50€)

Le tracé pour la découpe

Les bords ont été repliés sur eux-même de facon régulière pour obtenir le diamètre de la citerne et scotché avant la pose.

Les cerclages complémentaires maintienne le tout

Le couvercle: (qui protege la cuve des enfants et sert de support au filtre)

Le coût de reviens total est d'environ 200 €. Il faut ajouter le surpresseur 3 bars avec reserve, les tuyaux et raccords 100€.
Ce systeme fournit environ 100L par jour (machine à laver le linge+toilette+aquarium) en déduction de ma consommation. J'ai détaillé les gain ici http://www.econologie.com/forums/loi-francaise-...ie-vt1742-40.html
Temps de réalisation environ 10H.


Bon bricolage, pour ceux que cela pourrait inspirer.

Quelques rare photos du pré-filtre !

Complet

Au fond, j'ai mis des galet pour qu'il ne flotte pas. L'eau ressort pas des trous de diamètre 12 effectués sur toute la périphérie.
A l'intérieur il y a 2x40mm d'épaisseur x30cm de diamètre de mousse de filtre de bassin de jardin. Cela capte les plus grosses impuretées. La décantation dans la reserve et le filtre en sortie de pompe font le reste. Je lave les mousses tous les 6 mois environ. Ceci, afin que le débit du pre-filtre reste suffisant en cas d'orage.
Au debut, je filtrais mieux avec de la ouate d'aquarium. Mais le colmatage était beaucoup trop rapide (<1mois). Au bout de deux trois lavage, il fallait changer la ouate. Maintenant j'ai des mousses qui devraient durée plus de 10 ans sans problème...
Une fois par ans, lorsque la cuve est vide ou presque, je la brosse et la vide avec une pompe vide cave.



Discussion complète ici: http://www.econologie.com/forums/recuperation-d...ie-vt1778-60.html

 

 

 

D'autres infos >>

 

1. Fabriquer une réserve d’eau

La volumétrie de votre réservoir dépend de l’utilité que vous avez d’un récupérateur d’eau de pluie. Plus les besoins sont importants plus le réservoir sera grand.

- Fabriquer votre réserve d’eau ou récupérer des bidons/tonneaux/barriques

Un petit bricoleur du dimanche s’est lancé dans l’explication de la construction d’une réservoir fait main à l’aide de quelques planches de bois et d’une bâche en plastique pour rendre le contenant hermétique.
Cf. http://www.econologie.com/forums/fabriquer-un-recuperateur-d-eau-de-pluie-en-bois-vt3978.html

Un site vend toutes sortes de bidons destinés à récupérer l’eau de pluie. Au pire vous pourrez vous en inspirer…
Cf. http://www.composters.com/rain-barrels.php

- Fabriquer un réservoir

Percer un trou en haut du bidon pour visser l’embout mâle du robinet
Percer un trou dans la partie basse du tonneau pour visser le robinet

2. Fabriquer un récipient pour extraire l’eau du tonneau

A vous de dégoter un deuxième bidon, un arrosoir, une bassine… Tout récipient qui pourra se glisser sous le robinet pour récupérer l’eau.

3. Fabriquer un collecteur d’eau

Le principe du collecteur d’eau est de récupérer l’eau de pluie de la gouttière et de la stocker dans le tonneau. Il existe aujourd’hui tous les types de collecteurs adaptables à toutes les gouttières (circulaire, carré…)

4. Raccorder le collecteur d’eau au récipient

  • Placer le réservoir
  • Raccorder le collecteur à l’embout fixé sur le tonneau
  • Félicitez-vous de la réalisation de votre chef d’œuvre

Pour les flemmards, il existe des récupérateurs d’eau de pluie prêt à l’emploi :

http://www.gerbeaud.com/jardin/ebiz/recuperateur_eau.php3

 

Source: http://lemag.rueducommerce.fr/

 

ET aussi Fiche technique >>

 

  • SMEGREG - Syndicat mixte d'études pour la gestion de la ressource en eau du département de la Gironde

Secrétariat technique de la Commission locale de l'eau du SAGE Nappes profondes de Gironde
Les Jardins de Gambetta - 74 rue Georges Bonnac - 33000 BORDEAUX
Tél. 05.57.01.65.65 - Fax. 05.57.01.65.60 - contact@smegreg.org

www.jeconomiseleau.org/pdf_recup_eau_pluie.pdf
  • Site pratique d'un particulier sur la récupération d' eau de pluie.
http://eaudepluie.e-monsite.com/pages/installation/schema-de-principe-d-une-installation-de-recuperation-d-eau-de-pluie.html
Construire la citerne de récupération de leau de pluie      
Écrit par joseph Orszagh   

Le système de valorisation intégrale de l’eau de pluie ou PLUVALOR ne s’improvise pas. Plus de 20 années d’expériences sur le terrain ont mis en évidence une série de problèmes dont la prévention est simple, mais doit être faite de préférence au moment de la conception de l’habitation. Malheureusement, peu d’entreprises connaissent le système PLUVALOR et, de ce fait, les erreurs de conception sont nombreuses et rendent plus difficile l’usage et la gestion des eaux pluviales.


 

Après la lecture attentive de la présente documentation, une discussion entre l’architecte, le maître d’ouvrage et l’entreprise qui fournit le matériel est hautement souhaitable.

 

Pour tout conseil, dans la mesure de nos disponibilités, nous répondons par courrier électronique aux questions techniques posées. Contacter à ce sujet :

 

joseph.orszagh@skynet.beCet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir

  • Les dimensions de la citerne

Elles sont déterminées par la superficie au sol de la partie de l’habitation dont le toit est raccordée à la citerne. On ne dimensionne donc pas une citerne d’après le nombre d’usagers.

Dans la mesure des possibilités du terrain, lors de la conception d’une maison, afin d’augmenter la quantité d’eau récupérable, il est préférable d’opter pour une habitation de plein pied au lieu de construire en hauteur. Il va de soi que tous les versants du toit seront raccordés à la citerne.

On prévoit pour chaque tranche de 100 m² au sol (donc 10x10m) une capacité de 14 m³ pour la citerne. Une habitation de 5x10m aura donc une citerne d’environ 7 m³, une de 10x20m une citerne de 28 m³. On peut évidemment arrondir ces valeurs, de préférence vers le haut.

 

Lorsqu’on construit la citerne, celle-ci aura deux compartiments : le compartiment de décantation dont la capacité est d’environ 20 % du volume total et un compartiment de stockage représentant 80 % du volume. Attention, le volume d’une citerne est calculé jusqu’au niveau du trop-plein.

 

Toutes les eaux du toit arrivent dans le compartiment de décantation dont le trop-plein se déverse dans le compartiment de stockage.

 

Dans le cas du placement des citernes préfabriquées, on en placera au moins deux : l’une pour la décantation, l’autre pour le stockage.

 

  1. Les matériaux

Il faut oublier les citernes en plastique et en métal. Afin de bien neutraliser l’acidité naturelle de l’eau de pluie, on choisira le béton, la maçonnerie classique ou les pierres calcaires.

 

Au cas où des infiltrations sont à craindre à partir des eaux souterraines, on placera un enduit en goudron ou autre matériau étanche sur les parois extérieures de la citerne. Les parois intérieures seront revêtues d’une couche d’enduit en mortier ciment contenant un peu de chaux hydraulique. Afin de faciliter les entretiens et limiter le développement excessif de bactéries, cet enduit doit être bien lisse. Eviter les enduits synthétiques étanches qui ne peuvent pas neutraliser l’acidité de l’eau.

  • La forme de la citerne

Dans le cas d’une citerne préfabriquée, la forme cylindrique ou ovale est imposée par le fournisseur. Ces citernes en béton vibré conviennent très bien à l’usage, mais doivent parfois être adaptées au système. Ces adaptations concernent parfois l’élimination de la rugosité intérieure à l’aide d’une fine couche d’enduit mortier, l’aménagement d’un point bas ou d’un puisard et l’agrandissement de l’ouverture d’accès.

Pour faciliter l’entretien, il n’est pas inutile de placer un carrelage au fond, mais uniquement au fond. Celui sera en pente légère vers un point bas où il est hautement souhaitable d’installer un puisard pouvant contenir une pompe vide-cave. Sans cette précaution, le nettoyage d’une grande citerne peut devenir une véritable corvée.

On veillera à l’installation d’une ouverture d’accès suffisamment large pour laisser passer une personne même corpulente portant un seau. Dans la mesure du possible, on incorpore une échelle métallique dans la parois de la citerne près de l’ouverture d’accès. La trappe fermant l’ouverture sera en matériau léger, mais solide. Oublier la trappe en béton armé dont l’ouverture demande beaucoup de force musculaire. Préférer la plaque en acier laminé, munie d’une poignée escamotable ou de trous aménagés pour l’ouverture à l’aide d’un crochet.

 

 

 

Pour les grandes citernes (supérieures à 10 m³), on peut éventuellement prévoir un éclairage étanche au plafond avec un interrupteur muni d’une lampe témoin placé dans la maison.

Les tuyaux qui relient plusieurs citernes couplées doivent être suffisamment flexibles pour absorber les mouvements éventuels du terrain. A l’entrée du trop-plein qui se déverse dans une autre citerne, on placera un coude tourné vers le bas, afin d’éviter le transvasement des surnageants.

Prévoir le tuyau d’aspiration avec un diamètre minimum d’un pouce. Il sera souple et équipé d’une crépine flottante.

Lorsqu’on utilise l’osmose inverse pour faire de l’eau potable, il faut également prévoir le tuyau de retour de l’eau de rinçage de la membrane dans la citerne.

Prévoir aussi le tuyau pour alimenter le disperseur de bulles d’un aérateur d’aquarium. Il s’agit d’un tuyau souple en plastique de moins de 8 mm de diamètre.

Ne jamais raccorder le trop-plein de la citerne à un égout. C’est d’ailleurs interdit par la loi. Le trop-plein d’une citerne en usage continu ne fonctionnera que très peu. De ce fait un simple puisard enterré suffit pour recevoir les eaux en excès. Attention, placer une grille sur le trop-plein afin d’empêcher l’introduction des rongeurs ou des grenouilles dans la citerne.

  • En amont de la citerne

L’eau qui descend du toit doit être filtrée ou décantée. Afin de protéger l’installation de filtrage dans la maison, un filtre de sable est une solution chère, mais efficace. Ces filtres préfabriqués sont vendus dans le commerce.

On vend également des filtres en mousse plastique d’une porosité de 100 microns à placer sous chaque descente de gouttière. Ces filtres doivent régulièrement être nettoyés.

  • Les gouttières et les descentes

Les matériaux qui conviennent sont le zinc, le PVC et la faïence. Eviter l’aluminium. Le cuivre et le plomb ne conviennent absolument pas. Ces métaux sont solubles en milieu acide (la pluie qui tombe sur le toit est toujours acide) et sont toxiques.

Lorsqu’on peut craindre la chute des feuilles sur le toit, placer une grille escamotable de protection sur les gouttières. Afin d’empêcher l’entraînement d’oiseaux morts dans la citerne, placer une grille dans la gouttière au-dessus de chaque descente.

Les gouttières doivent être nettoyées deux fois par an. Lors de la conception de l’habitation, on veillera donc à un accès facile.

  • Les matériaux pour le toit

Les matériaux qui conviennent le mieux sont les tuiles (de préférence émaillées), les ardoises naturelles, le zinc et le verre. On peut tolérer les ardoises artificielles, la tôle ondulée en fer galvanisé ou en plastique. Eviter le toit en cuivre, en aluminium ou les matériaux synthétiques légers (imitation de tuiles) et le goudron.

Oublier le toit végétal, inutilisable pour la récupération de l’eau de pluie (sans parler des problèmes d’étanchéité à long terme et du poids nécessitant une charpente solide, donc plus chère).

Le placement de la citerne

Afin de garantir la bonne conservation de l’eau , une citerne doit obligatoirement être enterrée. On peut la placer sous la terrasse ou en cave. On ne la placera pas sous les pièces d’habitation, mais sous le garage ou sous les bâtiments annexes. Dans le cas d’une construction déjà existante, on peut aussi la placer dans le jardin sous une pergola. Au dessus du plafond de la citerne on aménagera sous le pergola un air décoratif couvert de carrelage ou de pierres naturelles. Les eaux récupérées sur le toit de la pergola seront également conduites dans la citerne.

De même, on veillera à raccorder à la citerne le toit de tous les bâtiments annexes, comme celui du garage, de la serre, de la pergola, de l’abri de jardin, ainsi que de l’abri pour le bois de chauffage.

  • Le groupe hydrophore

Il sert à injecter l’eau de la citerne sous pression dans la canalisation de la maison. L’alimentation d’une maison familiale nécessite une pompe d’une puissance d’au moins 350 Watts. Les pompes à piston sont très bonnes, mais relativement chères. Les pompes centrifuges sont moins chères, mais fonctionnent également très bien. Un grand réservoir de 200 litres placée à la sortie de la pompe assure un fonctionnement plus régulier. Le placement d’un tel réservoir (même plus petit) est indispensable si l’on veut produire l’eau potable par osmose inverse. Actuellement, on trouve sur le marché des pompes sans réservoir. Elles se mettront en marche dès qu’on ouvre un robinet dans la maison. Ce n’est pas le cas d’une installation comportant un grand réservoir. Dans ce cas, la pompe fonctionnera moins souvent, consommera moins d’électricité et durera plus longtemps.

 

 

 
SUITE sur :
http://www.batirbio.org/html/Economiser-l-eau/Eau-et-energie/
http://www.batirbio.org/html/Eau-et-energie/Construire-la-citerne-de-recuperation-de-leau-de-pluie.html
D'autres infos >>
  • http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9cup%C3%A9ration_de_l%27eau_de_pluie#L.27eau_r.C3.A9cup.C3.A9r.C3.A9e_du_toit
  • http://fr.wikipedia.org/wiki/Eau_pluviale#Les_aides_.C3.A0_la_r.C3.A9cup.C3.A9ration_de_l.27eau_de_pluie


29/12/2011
3 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 986 autres membres