Nutrivitalité = Gourmandise + Vitalité
Nutrivitalité = Gourmandise + Vitalité
Après s’être formé à la naturopathie, la nutrition ayurvédique et la diététique énergétique chinoise, Frédéric créé la Nutrivitalité une synthèse pratique et gourmande des meilleurs usages culinaires et nutritionnels. Il nous livre ici un aperçu de ses 7 principes capitaux. Il organise des cours de cuisine et des séjours de revitalisation. www.nutrivitalite.fr
- Plaisir : Pas de plaisir … pas de vitalité ! Toutes nos fonctions digestives sont améliorées quand un repas est pris avec plaisir et digéré dans un état de détente physique et mentale. A l’inverse quand nous sommes stressés : « ça passe pas ».
- Frugalité : Manger moins pour vivre plus. La quantité est toujours au détriment de la qualité; si ce n’est la qualité des aliments, se sera la qualité de leur assimilation … car notre capacité digestive a des limites.
- La végétalité : Omnivores, nous pouvons digérer plein de choses. Mais ces sont les végétaux que nous assimilons le mieux et dont nous éliminons le plus facilement les résidus. Et c’est grâce aux micronutriments et aux fibres des végétaux que nous pouvons manger de la viande.
- La vitalité : Pour entretenir la vie en nous, nous avons besoin du vivant. Le plus vivant dans les aliments est aussi ce qui est le plus fragile : les enzymes et les micronutriments. La nutrivitalité propose de privilégier les aliments les plus concentrés en micronutriments.
- Le respect : Respecter les rythmes et les limites physiologiques de son système digestif, c’est lui permettre de remplir sereinement son rôle. Ballonnements, vents, brûlures d’estomac, irritations intestinales, diarrhée, constipation, … sont souvent les signes d’un manque de respect de son système digestif.
- L’équilibre acido-basique : L’acidification est avec l’oxydation, l’une des clefs du vieillissement cellulaire. L’excès d’acide ronge les réserves minérales de l’organisme comme le vinaigre dissout le calcaire. A l’instar des peuples centenaires, nous pouvons privilégier les aliments les plus alcalins.
- La variété : Multiplier le plaisir, varier les apports. Manger un peu de tout permet d’éviter les excès d’un aliment et d’éviter les carences. Pour pouvoir concilier cette variété avec la simplicité des repas (éviter les mélanges), il faut concevoir la variété sur une journée ou une semaine et pas, comme c’est souvent le cas, dans un seul repas.
Les indispensables :
Il vaut mieux bien manger de mauvais aliments que de mal manger de bons aliments.
- Mâcher : La mastication, c’est la clef ! En mâchant on commence la digestion, on allège le travail musculaire de l’estomac, on favorise et accélère la biochimie digestive, on désinfecte les aliments, on modère les quantités … et on amplifie les saveurs.
- « Petit jeûner » : C’est jeûner chaque jour 10 à 12h entre le repas du soir et le PETIT DEJEUNER. Le système digestif peut alors se reposer et se régénérer … il fonctionne mieux et vous le rend bien !
- Réduire les quantités : Ne mangez pas plus que ce que supporte votre estomac … merci pour lui !
- Simplifier : Apéro, entrée, plat, fromage et dessert … trop de mélange pompe notre énergie digestive. Apprendre à faire de bonnes et simples associations d’aliments permet de mieux assimiler et les nutriments et conserver notre énergie pour vivre plutôt que pour digérer !
- Ne pas noyer : Trop boire en mangeant noie le système digestif. A l’instar des autres mammifères terrestres, hydratez-vous en dehors des repas.
Les fournisseurs de vitalité |
Des fruits et légumes bien vivants |
De bonnes protéines (80% végétales / 20% animales) |
Des bons acides gras :
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De bons sucres lents :
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Cuissons justes :
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Aliments vitalogènes :
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Les voleurs de vitalité |
Les excès de protéines et de produits laitiers : Un adulte n’a plus besoin de manger comme un adolescent en pleine croissance ! |
L’excès d’acidité : D’abord celle du stress mental mais aussi celle de nos assiettes |
Les mauvais sucres :
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Les produits dénaturés : |
L’excès de cuisson : A partir de 40°C, on commence à détruire les enzymes. Dès 60°C, la vitamine C commence à se volatiliser. Au dessus de 90°C, on détruit plus de 50% des vitamines. Au-delà de 160°C, on altère les protéines et les acides gras |
Les excitants : |
Soupe miso aux shiitakés
Utilisation : En entrée - Préparation : 10 mn - Cuisson : 5 mn
Pour 4 personnes
- 800 ml d'eau
- 4 shiitakés frais
- 2 brins de cive ou 1 petit oignon fanes
- 1 c. à s. de paillettes d'algues en mélange
- 4 c. à c. de miso de riz
- 4 c. à s. de sauce soja
Lavez les shiitakés en les frottant avec un torchon humide. Coupez les chapeaux en lamelles et hachez les pieds qui sont plus durs. Faites revenir les shiitakés quelques minutes avec 1 c. à s. d'huile d'olive. Lavez la cive ou l'oignon et ciselez-les finement. Faites chauffer l'eau. Dans chaque bol, mettez 1 c. à s. de miso et 1 c. à s. de sauce soja. Délayez. Ajoutez la cive ou l'oignon, une pincée de paillettes d'algues et les champignons. Versez l'eau chaude dans chaque bol. Mélangez soigneusement et dégustez aussitôt.
Découvrez... les shiitakés
Originaire du Japon, où il est considéré comme un élixir de vie, le shiitaké est un délicieux champignon dont le goût et la texture rappellent le cèpe. De très petites quantités suffisent pour relever un pâté végétal, parfumer une sauce, une soupe ou une omelette.
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