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Pollution,Exhibition, voyeurisme, et infantilisation : voilà ce que propose Facebook.

Outre que le réseau social utiliserait principalement (67%) l’énergie au charbon, soit la source la plus polluante, pour alimenter son nouveau centre de traitement des données ,il nous incite à perdre notre temps en nous incitant à nous vautrer dans le narcissime... Là était le génie : mettre en avant l'ego de chacun.

Si chaque heure gaspillée par chaque internaute sur Facebook l'était "à faire", agir, construire au "concret" plutot qu' à s'afficher ou publier des photos, liens  .. surlesquels les gens cliqueront "j'aime" sans même le plus souvent les avoir ouverts (soit qu'ils connaissent déjà le sujet -vu qu'on se regroupe par centres d'intérêts! et que chacun est capable de trouver par lui même des infos  via les moteurs de recherche sans passer par la case facebook- , soit qu'ils veulent juste se faire "remarquer"), à raison de plus de 500 millions de connectés...mais c'est la face du monde qui en serait changée...mdr..on peut toujours rêver ^^ car Facebook ça demeure avant tout un tout à l'égo...ére du vide et du narcissisme exacerbé...extrêmement polluant...et ou on est fliqués, fichés, parqués..

 

BOYCOTT..BOYCOTT...BOYCOTT...BOYCOTT...BOYCOTT..BOYCOTT..BOYCOTT...BOYCOTT...BOYCOTT...BOYCOTT..

 

  • FACEBOOK et POLLUTION

 

L’ONG de protection de l’environnement Greenpeace a mis en ligne une histoire de Facebook sous forme de film d'animation intitulé The So Coal Network (le réseau si charbon) avec pour titre dans la version française ci-dessous, la rencontre et l’histoire d’amour de Facebook avec cette énergie polluante, le charbon :

 

Facebook : Greenpeace vous invite à abandonner... par gpfrance

 

Cette initiative de Greenpeace fait suite à la construction d'un centre de données (data center) pour Facebook dans l'Oregon aux Etats Unis (ville de Prineville), qui sera principalement alimenté par des centrales électriques fonctionnant au charbon...

 

Selon l’association écologique Greenpeace, le réseau social utiliserait principalement (67%) l’énergie au charbon, soit la source la plus polluante, pour alimenter son nouveau centre de traitement des données (Datacenter), à Portland, aux Etats-Unis.

Facebook se défend avec, une fois de plus, un peu de mauvaise foi : «Le climat de la région et la réduction des consommations d’énergie minimise notre empreinte carbone. Si nous avions implanté notre centre de données ailleurs, nous aurions eu besoin d’utiliser des climatiseurs. Ils auraient augmenté la consommation d’énergie et émis plus de carbone ».

La RTBF, estime que ce centre nécessite en électricité l’équivalent de 30.000 à 40.000 maisons. C’est énorme juste pour se dire qu’on s’est levé du pied gauche le matin ou qu’on se trouve à tel endroit !

 

Greenpeace souhaiterait que le géant social américain utilise sa position de leader pour montrer l’exemple et faire appel à plus d’énergies renouvelables pour l’alimentation de ses serveurs, comme le confirme ces paroles de Kumi Naidoo, directeur de Greenpeace International, «Facebook a la possibilité d’être très visible et d’être un leader influent pour le développement des énergies renouvelables».

L’association a d’ailleurs lancé une campagne sur … Facebook (!) afin que les utilisateurs, via le groupe "We want Facebook to use 100% renewable energy », fassent pression sur son président, Mark Zuckerberg. 500.000 protestations auraient déjà été enregistrées.

Les experts estiment qu’à l’horizon 2020, les technologies de l’information  et de la communication (IT ou TIC) consommeront 2 milliards de kWh (l’équivalent de l’Allemagne, le Canada et le Brésil réunis), soit 3 fois plus qu’aujourd’hui. La mise en place de la « GreenIT » est donc primordiale si on veut pouvoir encore espérer respirer dans le futur.

 

On a tendance à associer Internet à de l’intangible, comme si les milliards de courriels, de photos et de vidéos que l’on s’échange sur le réseau des réseaux n’étaient que des données numériques. Du vent, en somme.

 

Or, l’infrastructure Internet est physique. Elle requiert des quantités monstres d’énergie et génère des gaz à effet de serre. Oui, naviguer sur le Web pollue.

Selon Google, une seule requête sur le moteur de recherche produit l’équivalent de 0,2 gramme de C02. Un millier de recherches sur Google polluent autant qu’une voiture roulant sur un kilomètre.

Un chercheur de Harvard, Alex Wissner-Gross, soutient qu’en général, surfer sur le Web génère 0,02 gramme... par seconde!

« On ne le réalise pas dans notre quotidien, mais chaque fois que l’on surfe sur Internet, il y a un impact environnemental, dit Éric Darier, directeur de Greenpeace au Québec. Les émissions mondiales des différents gaz à effet de serre, mesurées en CO2 équivalent pour le secteur des technologies de l'information et des communications, sont actuellement de 830 millions de tonnes métriques, ce qui est énorme. En comparaison, le total des émissions du Canada est de 747tm CO2eq par année. De plus, ces émissions connaissent une croissance de 6% par année. »

Trois éléments sont au cœur de ce qu'on peut appeler « la pollution par Internet ».

  • Le premier, ce sont les ordinateurs et leurs périphériques que l'on possède à la maison. Ils utilisent 1% de l'électricité d'une maison.
  • Le deuxième, c'est l'infrastructure de télécommunications. Les « routeurs » qui gèrent le trafic sur Internet et nous permettent d'acheminer l'information du point A au point B.
  • Le troisième, ce sont les centres de données. Ce sont de gigantesques entrepôts de serveurs, d'ordinateurs, comme ceux opérés par Google, Apple, Microsoft, Facebook, etc., et qui stockent de l'information, ou des applications que l'on utilise en ligne ou à distance. Ces centres de données ont besoin d'être alimentés et climatisés, ce qui requiert de l'énergie.

En quoi les centres de données sont-ils polluants?

 

« Les grandes sociétés Internet construisent souvent leurs centres de données proches des sources d’énergie disponibles, explique Éric Darier. Et quand on parle de sources d’énergie disponibles, aux États-Unis, on parle de charbon et de nucléaire. »

Par exemple, Microsoft, en Illinois, possède un centre de données de 700 000 pieds carrés
(soit 9 terrains de football) qui est alimenté à 72,8% de charbon et à 22,3% de nucléaire.

 

source: http://vieenvert.telequebec.tv/sujets?sujet=19

 

Rappel:

Le charbon est la première source mondiale d'électricité et la deuxième, toutes utilisations confondues, derrière le pétrole.

Les centrales au charbon représentent le moyen le moins cher pour produire de l'électricité et les réserves sont abondantes (930Gt selon EIA 2009).

Ceci constitue donc une puissante incitation à développer cette source d'énergie.

 

La combustion du charbon dégage non seulement du CO2 mais aussi des sulfates et des NOx qui interviennent dans la productions d'aérosols et dans la chimie du méthane et de l'ozone.

Elle agit sur le climat directement par des effets radiatifs, mais également indirectement en agissant sur les écosystèmes.


 

 Une étude* américaine publiée en février 2011 dans Annals of the New York Academy of Sciencesmontre que l'exploitation du charbon et la pollution qui en résulte engendreraient des coûts "cachés" payés par les citoyens américains de l'ordre de 345 milliards de dollars (249 milliards d'euros) par an.

 

  • Il s'agit des coûts de santé (maladies respiratoires, cardio-vasculaires, empoisonnement au mercure...) et environnementauxmissions de CO2 et d'azote) évalués sur l'ensemble du cycle de vie du charbon (extraction, transport, combustion, traitement des déchets).
  • On parle de coût "cachés" car ceux-ci ne sont pas pris en compte dans le coût du charbon, permettant de maintenir le coût du charbon assez bas, et donc de favoriser son utilisation au détriment des énergies renouvelables.

 

  •  FACEBOOK : L'EGO-MEDIA

Voici venu l'ère de l'EGO-MEDIA... facebook aurait pu être un fabuleux outil d'information mais on l'a réduit à un pitoyable étalage des égos des uns et des autres...Chacun se crée un personnage et on voit défiler à longueur de journée la pseudo- vie perso des gens: MOI de face, MOI de profil, MOI en maillot de bain -mate au passage mes seins-, MOI version pseudo-connecté à la nature enlançant les arbres, MOI en vacances...MOI et "mes" enfants... ...et moi...et moi...et MOI... ça n'apporte RIEN à personne si ce n'est de se faire mousser et d'avoir l'illusion d'une pseudo notoriété/popularité à coup de "j'aime" et blablablas insignifiants...Facebook a d'ailleurs bien l'intention de surfer sur le phénomène narcissique et de jouer sur l'égocentrisme de chacun en augmentant à 25 000 le plafond du nombre d'"amis" potentiels..ça veut tout dire...En même temps ça reflète complètement notre société actuelle qui repose essentiellement sur le "m'as-tu vu"...

>"Facebook nous entraîne à succomber à la tentation narcissique"
Et MOI et MOI et MOI...Facebook nous entraîne à succomber à la tentation narcissique. Je change de statut, je change de photo, je parle de moi, je montre mes amis... Tout est fait pour nous inciter à nous vautrer dans ce narcissisme.“théâtre numérique”, de mise en scène de son “moi” intime ou social... ère du vide...
http://www.metrofrance.com/high-tech/facebook-nous-entraine-a-succomber-a-la-tentation-narcissique/mjbc!OCD9Wt19Cz5s/index.xml

>La société du paraître (et du "par-être")

Tout le monde le dénonce, et pourtant tout le monde suit la mouvance. Notre société trouve sa base dans le « paraître », ce jeu d’acteurs auquel nous nous prêtons tous à des degrés différents.
L’être n’aurait-il plus sa place ?
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-societe-du-paraitre-et-du-par-61112

>Facebook, le triomphe de l'ego
En France, 15 millions de personnes ont succombé au phénomène et 80% des 15-24 ans sont inscrits. Plus que la possibilité de créer son "profil" en ligne avec bio et photo à l'appui, c'est le concept de flux d'actualité continue instauré en 2006 qui fait la différence. Il permet de savoir en temps réel ce que font ses amis. Là était le génie : mettre en avant l'ego de chacun.
http://www.metrofrance.com/high-tech/facebook-le-triomphe-de-l-ego/mjbc!1gTUrhQJlMtM/

>Facebook, le tout à l'égo
Facebook s'impose comme le salon virtuel des nouvelles mondanités électroniques. C'est le lieu où l'on cause. "Totalement inutile, mais il faut y être"
http://www.troisiemevoie.com/troisiemevoie/2007/11/facebook-le-tou.html
 

> Pollution,Exhibition, voyeurisme, et infantilisation : voilà ce que propose Facebook.

 

Facebook, ce nouveau moyen de communication et surtout de socialisation est considéré comme une véritable révolution dans le domaine du fameux web 2.0.

En effet, Il n’y a, a priori, rien de très alarmant dans l’idée que l’on puisse regrouper ses amis sur internet, discuter avec eux, échanger des photos, des idées, divulguer des informations... Pour la plupart, le fond de la chose n’est pas plus innovant qu’un blog. Mais la concentration des services proposés et l’évolution permanente des applications fait de Facebook un des premiers sites sociaux au monde. 

 

Cependant, tant sur l’aspect du site que sur le fond de la structure, Facebook est une innovation du web à la fois malsaine et dangereuse. 

D’abord sur la forme, le site propose aux gens de réunir leurs propres amis, et surtout de rechercher n’importe qui, du petit copain de CP, au camarade de colonie de vacances avec une facilité déconcertante. 

Certes, cela est tentant et apparaît comme étant tout à fait réjouissant. Mais le site n’est pourtant pas destiné à ces personnes. Il y a un décalage entre la relation que l’on peut nouer avec des anciennes connaissances qui est, de facto, tout à fait artificielle et le site qui propose une vitrine de sa personne destinée à de réels amis. Que ce soit son opinion politique, ses préférences sexuelles, ses photos, ses ressentis... De simples connaissances ne sont pas censées les savoir.

 

Ensuite, tous les utilisateurs de Facebook peuvent voir combien d’amis ont leurs propres amis. 

Exemple : Sur ma page d’accueil il y a marqué que j’ai accepté X nombre d’amis. N’importe qui de mes "amis" peut donc savoir combien j’en ai accepté et inversement. 

Cette application paraît futile. Mais c’est pourtant une logique concurrentielle qui pousse tout le monde, et notamment les plus jeunes à vouloir accepter n’importe qui sur sa page, pour rivaliser avec ses autres amis. Je paraîtrais ridicule d’avoir seulement 50 amis alors que mon meilleur ami en a 300. 

 

De fait, si l’on accepte n’importe qui pour faire du chiffre, alors n’importe qui a accès à des informations très personnelles. Et ce n’est ni la naïveté de certains jeunes, ni la compétition qui existe entre les adolescents, qui va empêcher l’idée qu’il faille avoir toujours plus d’amis. 

Cette application, qui montre le nombre d’amis que l’on a, consacre en quelque sorte l’existence du jeune. J’ai tant d’amis, cela signifie que j’ai beaucoup de gens qui m’aiment, qui tiennent à moi, et donc que j’existe à travers les autres. Tout comme le blog, avec le nombre de commentaires que l’on voulait toujours plus importants, l’individu croit exister à travers un nombre.

 

Les utilisateurs de Facebook ne réalisent pas non plus l’importance des informations sur les autres qui leur sont proposées et du côté malsain que cela constitue.

 Evidemment, le fait de pouvoir divulguer des photos à tous ses amis participe également à cette logique compétitive qui incite tout le monde à mettre toujours plus de photos. Mais cela est aussi créateur de tensions qui n’aurait pas eu lieu sans cet "outil révolutionnaire". 

En effet, désormais, l’on peut tout savoir sur n’importe qui de ses soi-disant amis sans qu’ils sachent que l’on sait. 

En clair, je peux exercer mes pulsions voyeuristes en toute impunité, sans que l’on me découvre.


Outre le côté voyeur que cela suppose, l’utilisateur a accès à une information qui auparavant ne lui était pas permise. 

 Exemple : Si j’entretiens une relation amoureuse avec une amie depuis 5 jours, je vais sur Facebook et je regarde l’ensemble de son album photo. Pas de chance pour moi, toute sa vie avant moi m’est accessible. Je découvre son ex-petit ami, sa famille, ses amis... Cela est évidemment créateur de tensions : une jalousie s’empare de moi. Pourtant, je ne vais pas lui reprocher d’avoir eu une vie avant moi. Mais le site m’impose de découvrir la vie de ma petite amie qui me précède, ses soirées avec son ancien copain... alors que sans cela je n’aurais jamais rien su. 

 

Plus grave encore, la frontière entre vie privée et vie publique est totalement balayée.

 Facebook donne la possibilité d’étaler sa vie privée à ses "amis Facebook", autant dire au public. Depuis quand exhibe-t-on sa préférence sexuelle, religieuse, politique, ses photos où l’on est saoul à une soirée ? Celle ou l’on fume un joint avec ses amis ? Les frontières de l’intimité sont totalement repoussées. Je peux voir le questionnaire des positions sexuelles préférées de "mes amis", ils peuvent calculer leur compatibilité sexuelle avec moi. Des informations sont donc proposées à des gens qui ne devraient pas la savoir. La part de mystère individuel est repoussée, la logique est de dire toujours plus aux plus de gens possible


Mais Facebook est tout récent, et l’on découvre seulement maintenant, quelques personnes qui subissent le fait de "se montrer". Certaines sont licenciées pour avoir publié une photo déguisée avec un verre d’alcool, alors qu’elles étaient censées être malades. D’autres sont tout simplement refusé à un poste d’embauche, pour avoir assumé leur opinion politique.

L’intimité n’a plus sa place, le but étant de se dévoiler, d’attirer, de séduire à tout prix. Et cela, fait naître incontestablement des rivalités entre couple, entre amis, entre employé-employeur. Ce moyen de communication est aussi un moyen efficace de répression, de surveillance et de traçabilité.

En effet, c’est un véritable espace d’espionnage social.  Tant pour les personnes entre elles, que pour les employeurs qui recrutent, ou les sociétés. Les gens dévoilent sans limites leur vie privée, alors que l’on sait aujourd’hui que les administrateurs conservent la totalité des informations dans leur base de données, et qu’ils peuvent les revendre. 

Mais comment résister à l’envie de plaire et de divulguer pour pouvoir recevoir encore plus d’informations sur les autres ? L’exemple marquant est l’enquête de la revue Tiger qui révèle la dangerosité des informations laissées sur ces plateformes.

 

Enfin, les gens sont infantilisés de toutes parts. La facilité d’y créer un compte, les jeux et applications que l’on y propose et enfin l’impossibilité de quitter réellement le site sans de multiples sollicitations pour y rester, font de ces utilisateurs de véritables enfants. Ils deviennent addicts et contraints de vouloir savoir toujours plus de choses sur leur entourage. 

Exhibition, voyeurisme, et infantilisation : voilà ce que propose Facebook. 

 

 Bien sûr, il est du ressort de chaque personne de ne pas s’inscrire sur ces réseaux, mais encore faut-il pouvoir reconnaître les travers de l’outil pour pouvoir les refuser. 

 

D.Perrotin / AGORAVOX

 

  • Facebook: souriez vous êtes fliqués

 

 

Facebook, ou le moyen d'aider la police. Facebook rassemble aujourd'hui prés de 350 millions de membres à travers le monde, ce qui fait de ce site d'échange le second site le plus visité au monde après Google. Facebook est aussi est surtout la clé des services de police.

 

  • RAPPEL sur L'IMPACT du Charbon


Sortez le charbon de l'ombre ! par gpfrance

Les conséquences désastreuses des cendres de charbon en Chine (extrait du monde)

 

Les 1400 centrales thermiques au charbon chinoises rejettent toutes les deux minutes et demie une quantité de cendres toxiques qui pourraient remplir une piscine olympique. Voilà les conclusions dramatiques d’une enquête de Greenpeace présentée mercredi 15 septembre à Pékin.

 

Première consommatrice mondiale de charbon, la Chine 375 millions de tonnes de cendres carbonées par an, soit 2,5 fois plus qu’en 2002.

 

Le charbon représente la première menace environnementale en Chine, selon l’ONG, et la première source de déchets solides, bien avant les déchets domestiques urbains.

 

[…] Au total, selon l’ONG, 25000 tonnes de métaux lourds présents dans les cendres de charbon sont rejetés chaque année en Chine.

 

[…]La Chine tire plus de 70% de son énergie de la combustion du charbon, ce qui fait du pays le premier émetteur mondial de gaz à effet de serre. Ces huit dernières années, il s’est construit en moyenne une centrale de charbon par semaine dans le pays.

 

Tiré de http://lemonde.fr « Les conséquences désastreuses des cendres de charbon en Chine »

17/09/10  Zhao Gang -- Greenpeace




06/02/2012
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