décroissance

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Dans le Vaccin...mercure.et autres saletés.

Dans le Vaccin...mercure.et autre saleté.

 

  • Les preuves des risques pour la santé et l’environnement de l’utilisation des amalgames dentaires se sont accumulées. Trois pays européens, la Norvège, le Danemark et la Suède ont déjà interdit les amalgames sur leur territoire. Aujourd’hui, la Suède appelle les autres pays européens à en faire autant.


"Nous appelons tous les citoyens à signer cette pétition pour l’interdiction des amalgames dentaires..."

 

*SIGNEZ LA PETITION EN LIGNE POUR OBTENIR L’INTERDITION DU MERCURE DENTAIRE !

Les preuves des risques pour la santé et l’environnement de l’utilisation des amalgames dentaires se sont accumulées. Trois pays européens, la Norvège, le Danemark et la Suède ont déjà interdit les amalgames sur leur territoire. Aujourd’hui, la Suède appelle les autres pays européens à en faire autant.

Pourtant, rien ne bouge au niveau de la Commission Européenne : le comité scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux (CSRSEN, SCENIHR en anglais) a considéré en 2008 que les amalgames constituaient un matériau de choix pour les soins dentaires, au coût peu élevé. Rappelons que les quatre experts extérieurs auxquels ce comité a fait appel étaient des dentistes pro-amalgames. Ce rapport fait désormais autorité à l’échelon européen.

En juin 2010, à Stockholm, vont se poursuivre sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) les négociations visant à élaborer un traité international contraignant permettant d’interdire ou de réduire drastiquement les utilisations du mercure. Les instances professionnelles dentaires, avec à leur tête la FDI (Fédération Dentaire Internationale), vont tout mettre en œuvre pour que les amalgames dentaires ne soient pas concernés par ces négociations, alors qu’ils représentent la première source d’exposition au mercure dans les pays riches (et hélas bientôt dans les pays en développement).

Nous demandons fermement aujourd’hui à l’Europe d’enfin préserver tous les citoyens de ce redoutable toxique qu’est le mercure, afin qu’on ne puisse pas intoxiquer au sud du continent et protéger au nord.

C’est pourquoi nous appelons tous les citoyens à signer cette pétition pour l’interdiction des amalgames dentaires, pour que cesse ce scandale sanitaire, en Europe d’abord, puis dans les autres régions du monde qui voudront suivre l’exemple européen.

http://www.contaminations-chimiques.info/?2010/04/29/721-petition-en-ligne-non-au-mercure-dentaire.

 

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Avec les vaccins,pour affaiblir le systhème immunitaire,on est mal barré..

Et  pour le futur ?  Robot...Nanotechnologie...Guerre.

Un très bel avenir voulu par l'élite...Vous ne trouvez pas?...

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L'argent pour l'élite ,et pour qui la merde?

 

Amalgame dentaire : mercure

http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&amp...

 

Génie génétique

 

http://74.125.91.132/translate_c?hl=fr&sl=en&u=ht...

 

 

Par zabeau

Amalgame dentaire

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

En dentisterie, amalgame désigne un matériau utilisé pour obturer les caries qui se forment dans les dents après que leur partie cariée a été nettoyée. Bien qu'encore appelé « plombage », l'amalgame dentaire ne contient plus de plomb depuis qu'on a scientifiquement démontré la haute toxicité de ce métal. Il a été remplacé par un amalgame à base de mercure, dont l'innocuité est discutée.

Un amalgame dentaire contient en moyenne environ un gramme de mercure
Radiographie et photographie d’une seconde molaire restaurée avec un important amalgame

Il semble que les amalgames soient très anciens, puis qu'on en trouve des traces fossiles sur des dents d'hommes préhistoriques (probablement des goudrons ou résines enfoncées dans un trou foré à l'aide des outils qui étaient utilisés pour forer les perles ou coquillages).

Les plombages sont apparus pour la première fois en Chine au IVe siècle av. J.-C. Cependant, ce n'est qu'à partir de 1850 que leur usage se répand. Au cours du XIXe siècle, l'amalgame au mercure remplace progressivement l'amalgame à base d'or aux États-Unis.

Leur composition varie selon les types d'amalgame et les époques.

  

Composition et préparation  

Un amalgame traditionnel est formé d'un mélange de mercure liquide (1 gramme environ par amalgame) et d'autres métaux en poudre

  • mercure : permet la plasticité du matériau lors de sa mise en place. Il représente 50 % de la masse.
  • argent : c'est le métal majoritaire après le mercure (30 % de la masse) ;
  • cuivre ;
  • étain ;
  • zinc (pas toujours présent) ;
  • autres métaux : ils sont ajoutés par les fabricants mais non révélés (secret de fabrication) pour améliorer le temps de prise ou les propriétés mécaniques finales du mélange. Certains amalgames contiennent du béryllium (métal toxique et très réactif) ou du palladium.

Ce mélange conduit à un matériau final très performant pour obturer les dents cariées. Le pourcentage de mercure dans les nouveaux alliages descend à 40-45 %.

On distingue trois étapes dans la formation d'un nouvel amalgame :

  1. « trituration » : imprégnation du mercure liquide dans les métaux en poudre,
  2. « amalgamation » : réaction chimique du mercure sur les métaux,
  3. « cristallisation » du matériau final.
  • Toxicité 

 

Depuis 1926 et les travaux d'Alfred Stock, les amalgames sont régulièrement mis en cause, notamment en raison du mercure qu'ils contiennent. Certaines études toxicologiques estiment que, comparée à l'ingestion moyenne due à l'alimentation (le mercure est de plus en plus présent dans certains poissons, notamment thon, marlin, et espadon..), le risque pouvant être imputé aux amalgames dentaires semble faible eu égard aux avantages qu'ils procurent. D'autres estiment que le contact permanent avec la dent, la gencive ou la salive dans un milieu parfois acide, et anaérobie (sous l'amalgame) peut - au moins pour certains patients - poser problème. Pour cette raison, la dentisterie holistique les bannit de son arsenal thérapeutique. En outre, la dentisterie ne dispose pas au XXIe siècle d'un matériau alternatif procurant les mêmes avantages et facilité de pose. Et les autres matériaux existants n'ont pas été testés à long terme et ne sont pas exempts de risques (par exemple, risque d'allergie aux composites dentaires).

Le mercure est en effet un métal volatil à température ambiante, mais aussi un métal très réactif dans les organismes vivants, plus ou moins selon différents facteurs (température, acidité, forme chimique, absence ou présence d'oxygène, méthylation, etc.). Il peut se lier aux molécules organiques constituant la cellule vivante (acides nucléiques, protéines…) et modifier leur structure ou inhiber leurs activités biologiques, même à très faible dose. La toxicité du mercure est connue, bien que les mécanismes biochimiques par lesquels le mercure interagit dans le corps humain ne soient pas tous élucidés.

  • Un sujet controversé 

Le débat sur la toxicité des amalgames est controversé : si certaines études récentesdisponibles concluent à une absence de nocivité ou à un risque très faible, l'exposition chronique à des faibles doses reste assez peu étudiée. Les effets synergiques sont aussi particulièrement difficiles à établir et un doute peut donc subsister. Si personne ne conteste plus le fait que les amalgames relarguent du mercure dans la bouche des porteurs d'amalgames, la controverse actuelle sur l'innocuité des amalgames porte essentiellement sur la question de la dose minimum pouvant entraîner un effet négatif sur la santé.

  • Le relargage du mercure  

Au début des années 80, plusieurs laboratoires ont montré que de la vapeur de mercure (Hg0) est continuellement libérée par les amalgames . Ce taux de relargage est nettement augmenté immédiatement après brossage des dents ou mastication (taux de relargage multiplié par 15) . Le mercure relargué par les amalgames peut être très variable d'un individu à un autre et être aggravé en cas de bruxisme ou de consommation de chewing gum, notamment les anciens fumeurs utilisant des pâtes à mâcher à la nicotine  . Les niveaux de mercure dans l'air et le sang sont corrélés à la surface et au nombre d'amalgames des molaires. Un amalgame avec une surface de 0,4 cm² libère 15 µg Hg/jour par usure mécanique, évaporation et dilution dans la salive. Un autre facteur aggravant le relargage de mercure est la présence de métaux différents en bouche, créant un phénomène d'électrogalvanisme : amalgames, couronnes, dent en or par exemple, mais certaines études ont également mis en évidence ce phénomène entre anciens amalgames et amalgames récemment posés. Il convient de limiter le polymétallisme, y compris avec les implants en titane, ce dernier réagissant aussi avec les amalgames au mercure. Enfin, si l'amalgame n'a pas été poli, sa surface de contact avec la salive est alors beaucoup plus importante (jusqu'à un facteur 100), augmentant la libération de mercure.

Concernant la valeur moyenne absorbée, différentes études ont établi une fourchette allant de 2 à 27 µg/jour, certains individus pouvant présenter des valeurs supérieures à 100 µg/jour  . L'OMS retient une fourchette de 3 à 17 µg/jour et une valeur moyenne de 10µg/jour. Il semble donc aujourd'hui admis que les amalgames dentaires soient la première cause d'absorption de mercure, devant le poisson et les produits de la mer (2,3 µg/jour) ou l'eau (0,3 µg /jour)  bien que les formes de mercure soient différentes. D'après une étude, les deux tiers du mercure éliminé par les urines viennent des amalgames dentaires et la quantité éliminée est corrélée à la surface totale des amalgames. Le mercure dans les urines, le sang et les selles diminue quand les amalgames sont enlevés . Le plus important relargage de vapeurs de mercure a lieu lors de la mise en place ou de la dépose des amalgames. Ces opérations sont toutefois au XXIe siècle plus sécurisées (aspiration des vapeurs, conservation sécurité des déchets). La dégradation des plombages ne libère pas de mercure organique (forme la plus toxique du mercure) mais il peut arriver qu'un morceau d'amalgame se détache et soit avalé, et qu'exceptionnellement il soit bloqué dans l'appendice, avec risque de production (faible mais chronique) de méthyl-mercure toxique et bioaccumulable.

  • Accumulation du mercure dans le corps et taux sanguins  

Différentes études menées par traçage de mercure radioactif sur le mouton, le singe ou l'homme (autopsies) ont mis en évidence l'accumulation du mercure issu des amalgames dentaires notamment dans les reins, le cerveau, le système gastro-intestinal, le foie ou les tissus de la mâchoire. La première étude sur le mouton a été contestée pour plusieurs points : placement des amalgames en vis-à-vis, mercure éventuellement avalé lors du placement des amalgames (absence de digue dentaire en latex)... Les études menées ensuite sur le singe ont cependant mené à la même conclusion. Les études menées sur le mouton ont également montré que le niveau sanguin de mercure reste bas, car le mercure est rapidement retenu par les tissus, ce qui indique que que le taux sanguin de mercure n'est pas un indicateur fiable d'intoxication ou de la charge corporelle totale en mercure  . Selon ces auteurs, un test de "mobilisation" à l'aide d'un chélateur devrait en effet être utilisé  .

  • Métabolisme  

L'absorption du mercure métallique est faible par voie digestive (<1 %). Par contre environ 10 % des vapeurs de mercure Hg0 sont transportées jusqu'aux poumons où 80 % du mercure est alors absorbé. Ce mercure est ensuite oxydé dans les cellules en Hg2+, cette forme étant par ailleurs mieux assimilée que Hg0 par voie digestive. Sous sa principale forme organique, le mercure méthylé (méthyl-mercure) est encore plus bioassimilable. Diverses bactéries peuvent transformer le mercure métallique en mercure méthylé.

À l'instar des formes organiques, le mercure métallique Hg0 est par ailleurs soluble dans les lipides et peut traverser les membranes cellulaires, dont la barrière hémato encéphalique  ce qui explique sa distribution dans le cerveau, le placenta ou le lait maternel. À l'inverse, les ions Hg2+ diffusent mal à travers les membranes cellulaires.
Les groupements sulfhydryl des protéines se lient aux métaux de transitions, dont le mercure, ce qui changerait la conformation de certaines enzyme et les inactiveraient. Le mercure intracellulaire se lie ainsi au glutathion, principal composé sulfhydryl (qui participe ainsi au processus naturel de détoxication), et aux protéines comportant un groupe cystéine.

  • Mercure et neurodégénérescence : le problème de la dose  

S'il est aujourd'hui admis que les amalgames dentaires libèrent du mercure, la question porte alors sur la dose entraînant un effet toxique. Différentes études ont montré des effets toxiques à basses concentrations de mercure sur le cerveau et son rôle est suspecté dans certains cas d'autisme .

Il est aujourd'hui établi que le mercure s'accumule de façon sélective dans le cerveau, notamment dans les zones en lien avec la mémoire. Le mercure pourrait être impliqué dans l'apparition de la maladie d'Alzheimer : une formation anormale des microtubules (perturbation de la polymérisation liée à la tubuline), caractérisant la maladie d'Alzheimer a été mis en évidence dans le cerveau de rats intoxiqués avec l'ion Hg2+ . Ces effets ont pu être montrés chez le rat, avec des expositions à des vapeurs de mercure similaires à celles mesurées dans la bouche d'êtres humains avec amalgames.

La tubuline est en effet un composant majeur de la structure membranaire du neurone. Pendant la croissance normale de la cellule, les molécules tubulaires s'imbriquent bout à bout (polymérisation) pour former les microtubules, protégeant les neurofibrilles (autre protéine structurale de l'axone). Cette polymérisation est liée à l'hydrolyse de la Guanosine triphosphate (GTP) qui fournit l'énergie nécessaire à la polymérisation. En présence d'une très faible concentration' de mercure Hg0, la membrane neuronale dégénère, laissant les neurofibrilles dénudées, sans structure protectrice. Cette étude a montré que le mercure infiltre la cellule et s'attache aux sites réservés à la liaison avec la GTP, empêchant les molécules de s'imbriquer entre elles : les microtubules et le cône axonique se rétractent, les neurofibrilles s'agrègent ou s'emmêlent. L'effet n'a pas pu être reproduit avec d'autres métaux lourds. Des lésions semblables ont été observées dans les cerveaux de 80% des patients souffrant de la maladie d'Alzheimer.

Il a été également montré que le mercure inorganique perturbe la différenciation des cellules souches neurales : les propriétés morphologiques des astrocytes sont alors modifiées et la population de neurones est réduite.

  • Altération des fonctions rénales

Différentes études ayant montré que le mercure des amalgames se concentre dans les reins chez le mouton, le singe ou l'homme, certaines recherches se sont orientées sur les effets du mercure à de telles concentrations. Chez le mouton et le singe, les études montrent une capacité rénale détériorée. Les études menées à l'Université de Calgary sur le mouton ont montré que le mercure des amalgames provoquait une altération de la fonction rénale des sujets expérimentaux avec une baisse des fonctions allant jusqu'à 60 %. Des teneurs subcliniques en mercure peuvent compromettre les fonctions rénales et certaines autorités sanitaires jugent préférable de réduire les risques d'exposition chez les patients souffrant déjà de problèmes rénaux en évitant notamment la pose ou la dépose d'amalgames.

  • Devenir du mercure 

La question du devenir du mercure aspiré, ventilé ou envoyé à l'égout a été posée. Depuis 2002, les installations dentaires doivent être équipées d'un récupérateur d'amalgame, système qui filtre les débris pour éviter leur rejet dans les nappes phréatiques.

Enfin, se pose le problème du devenir du mercure après la mort du patient. La décomposition du cadavre peut engendrer un milieu favorable à la production de méthylmercure et/ou au relarguage de mercure. La crémation, un phénomène en fort développement, est cause du rejet dans l'atmosphère de quantités très significatives de mercure gazeux. Il est en effet fréquent que le corps incinéré ait de 5 à 10 plombages.

Depuis les années 1990, par mesure de précaution, il est obligatoire d'utiliser des capsules prédosées en mercure pour la fabrication des amalgames dentaires. De plus, de manière à limiter les rejets de mercure dans l'environnement, en France, un arrêté du 30 mars 1998 impose aux dentistes de séparer les déchets d'amalgames dentaires des autres.

  • Position des autorités sanitaires françaises

Conseil supérieur d'hygiène publique de France 

Dans un rapport publié en 1998 , le CSHPF donne plusieurs informations et émet des recommandations sur l'utilisation des amalgames.

  • Les amalgames dentaires libèrent du mercure sous différentes formes, et cette libération est augmentée par la mastication. Il est conseillé d'éviter la mastication fréquente de gomme à mâcher.
  • L'absorption principale se fait au niveau pulmonaire (mercure métal). Une partie du mercure franchit la barrière hémato-encéphalique et l'oxydation du mercure Hg0 mène à une accumulation locale. Le rein est le lieu d'accumulation principal. Le mercure métallique passe facilement la barrière placentaire.
  • Si le taux sanguin n'est pas un bon indicateur, les concentrations sériques, urinaires et tissulaires sont généralement corrélées au nombre d’amalgames. Les taux tissulaires fœtaux sont corrélés au nombre d’amalgames de la mère mais non la concentration dans le sang du cordon.
  • Il ne faut pas placer d'amalgames dentaires au voisinage d'autres restaurations métalliques ni réaliser le fraisage ou le polissage de l'amalgame sans refroidissement, aspiration et champ opératoire, ces interventions entraînant la libération de mercure.

Position de différents pays

Le doute sur la toxicité de l'amalgame, couplé au risque environnemental lié à la présence de mercure, a conduit certains pays d'Europe (Allemagne, Autriche, Suède, Danemark) à limiter son emploi[21]. La Russie et le Japon ont respectivement interdit l'usage d'amalgames dentaires au mercure en 1975 et 1982[réf. nécessaire].

Norvège 

Depuis le 1er janvier 2008, la Norvège a interdit l'utilisation du mercure pour toutes applications (et notamment dans les amalgames dentaires).

Suède

En 1997, une étude effectuée à la demande de la Suède a identifié différents risques concernant le système nerveux central, les reins, le système immunitaire, le développement du fœtus, en particulier son système nerveux. Un rapport publié en 2003 est venu le compléter et le modifier :

  • le mercure est un toxique polyvalent agissant à différents niveaux du métabolisme cellulaire, l'amalgame doit être considéré comme un matériau non adapté aux soins dentaires ;
  • la marge de sécurité admise jusqu'ici, concernant les niveaux de mercure considérés comme sans danger, était surévaluée ;
  • considérant l'influence inhibitrice sur le cerveau en développement, il n'est pas compatible avec les données de la science d'utiliser des amalgames chez l'enfant et chez la femme en âge de procréer ;
  • pour des raisons médicales, l'amalgame devrait être supprimé des soins dentaires dès que possible. Cependant, la dépose des amalgames ne devrait pas être entreprise sans raisons médicales valables : le risque de complications liées à cette dépose excède le risque lié aux amalgames ;
  • tout dentiste ou médecin, face à un patient à l'état pathologique peu clair ou souffrant d'une maladie auto-immune, devrait envisager que les effets secondaires liés au mercure des amalgames peuvent être une cause contribuant aux symptômes.

Canada 

Le mercure est inscrit sur la liste des produits toxiques qui « devront tôt ou tard être éliminés, [...] La réduction du degré d’exposition aux métaux toxiques, à condition qu’on puisse le faire à un coût acceptable, est un principe reconnu dans le domaine de la gestion des risques ». Concernant les amalgames, une étude a été faite à l'initiative de Santé Canada en 1995. Menée par le Dr Richardson, elle se base sur la bibliographie existante (pas d'étude en laboratoire).

L'étude conclut à une dose journalière admissible (DJA) de 0,014µg/kg/jour soit environ 1 µg pour un adulte de 70 kg. La DJA serait dépassée en moyenne avec 4 amalgames chez l'adulte, 3 pour les adolescents et 1 pour les enfants.

Santé Canada tempère cependant les résultats de ce rapport sur la base des taux urinaires et sanguins et des hypothèses de cette étude permettant d'extrapoler une DJA. Concernant la maladie d'Alzheimer, la sclérose en plaque ou la maladie de Parkinson, « les données actuelles sont insuffisantes pour confirmer et des études ultérieures devraient être menées. L'interdiction ou la dépose des amalgames ne paraissent donc pas justifiées chez les patients qui ne présentent aucun signe d'effets néfastes ».

Toutefois, il existe une faible proportion de gens hypersensibles au mercure et chez lesquels cet élément peut entraîner de graves problèmes de santé même à faibles doses. Santé Canada émet donc les recommandations suivantes :

  • Éviter les opérations utilisant des amalgames chez les enfants, les femmes enceintes et chez les personnes souffrant de maladies rénales car le mercure peut traverser la barrière placentaire et peut nuire aux fonctions rénales à des niveaux d’exposition subcliniques.
  • Les dentistes devraient utiliser des méthodes permettant de réduire le risque d’exposition aux vapeurs de mercure, tant pour leur patient que pour eux-mêmes.
  • Ils devraient conseiller aux patients qui risquent de souffrir d’une hypersensibilité allergique au mercure d’éviter les amalgames.
  • Éviter le polymétallisme.
  • Les dentistes devraient informer les patients sur les avantages et risques de ces matériaux et reconnaître le droit du patient à refuser un traitement utilisant ces matériaux.

Propriétés 

  • Avantages :
    • grande résistance mécanique et bonne étanchéité impliquant une pérennité dans le temps (parfois plus de 20 ans) ;
    • cariostatique (car bactériostatique) ;
    • facilité de manipulation et rapidité de pose ;
    • coût faible (remboursement intégral par la sécurité sociale en France).
  • Inconvénients :
    • plus dur que la dent (risque de fracture de la dent en cas de reconstitution de volume important) ;
    • inesthétique ;
    • toxicité (libération de mercure, électrogalvanisme buccal) ;
    • technique de pose. Contrairement aux solutions alternatives, ils sont posés en contre-dépouille (cavité à base élargie), ce qui oblige généralement à creuser un peu la cavité.
  • Alternatives 

Aucun matériau n'offre une solution parfaite de remplacement de l'amalgame. Il faut savoir choisir le plus adapté en fonction de chaque cas et des possibilités financières du patient.

  • Extraction : Une alternative à bas coût mais très mutilante est d'extraire la dent porteuse de l'amalgame. Il faudra ensuite remplacer la dent manquante, traitement qui, lui, est extrêmement coûteux.
  • Couronne : Sur une dent délabrée, une couronne peut être réalisée. C'est une bonne solution sur le plan de la biocompatibilité sauf en cas de polymétallisme ou d'allergie aux métaux utilisés.
  • Composites : Encore appelés résines, les composites dentaires ont été largement employés pour remplacer l'amalgame au mercure. Cependant, leur emploi se limite à des patients présentant une hygiène bucco-dentaire très rigoureuse, sur des cavités situées au-dessus du niveau de la gencive. Le résultat dépend en réalité plus de la virtuosité du dentiste que de la composition du matériau. En effet, ces résines durcissent par réaction de polymérisation. Or, lorsqu'elles ne sont pas entièrement polymérisées (ce qui est le cas quand elles sont montées et collées directement en bouche en une seule étape, mais pas quand elles sont montées en laboratoire de prothèse puis collées en bouche), relarguent différentes molécules : Bis-GMA, TEGDMA, Bis-EMA, UDMA...qui sont des molécules monomères qui sont allergisantes, cytotoxiques, cancérigènes, avec des effets sur les réactions immunitaires locales. De plus, quand elles vieillissent, les résines composites se dégradent et relarguent entre autres du bisphénol A et du formol. Par ailleurs, les résines composites sont très sensibles à l'humidité. Leur manipulation doit suivre un protocole très rigoureux (beaucoup plus rigoureux que celui des amalgames dentaires). En France, elles peuvent être mal utilisées car apparues assez récemment, certains dentistes n'ont jamais appris à les manipuler, si ce n'est par les commerciaux qui les leur vendent. Mal utilisées, ces résines relarguent d'autant plus de matériaux non polymérisés, de plus elles entraînent énormément de récidive de carie, du fait qu'elles sont mal collées et donc non étanches.
  • Les inlays : Obturations réalisées au laboratoire de prothèse à partir d'une empreinte, les inlays-onlays sont la seule alternative valable en cas d'obturation volumineuse. Ils sont réalisés en métal, en céramo-métal, en céramique pure ou en résine cuite. Leur coût élevé et leur faible remboursement limite leur emploi.

Bien que ne présentant pas la toxicité du mercure, ces solutions alternatives posent d'autres problèmes. Elles tendent par exemple parfois à se rétracter au cours du temps, ce qui conduit à un manque d'étanchéité du matériau. Ou elles peuvent provoquer des allergies ou des intolérances. Elles sont dangereuses lorsque le dentiste ne maîtrise pas parfaitement leur protocole opératoire.

Le choix du matériau d'obturation reste donc un acte professionnel du dentiste ou du médecin stomatologis

 

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BIENVENUE SUR LE SITE DE L'ASSOCIATION NON AU MERCURE DENTAIRE (Namd)


INC1 - STOCKHOLM - 07 Juin 2010  : INTERVENTION DE CHARLIE BROWN,
PRÉSIDENT DE l'ALLIANCE MONDIALE POUR UNE DENTISTERIE SANS MERCURE, AU P.N.U.E.

SIGNEZ LA PETITION POUR L'INTERDICTION DES AMALGAMES DENTAIRES EN EUROPE

LA TOXICITE DES AMALGAMES DANS LES MEDIAS

MERCURE ET MALADIE D'ALZHEIMER

DE FAIBLES DOSES DE MERCURE DETRUISENT LE MICROSQUELETTE DES NEURONES : VOIR LA VIDEO


DU MERCURE DANS LES SOINS DENTAIRES :
UN SCANDALE SANITAIRE MAJEUR

 

Le MERCURE (Hg) est un métal trace dont la toxicité est connue et redoutable : c’est un neurotoxique, un reprotoxique, un immunotoxique, un génotoxique

Le mercure métallique est classé parmi les substances CMR2 (cancérogènes, mutagènes, toxiques pour la reproduction) qui doivent être chassées de tous les usages pour leur dangerosité.

Au cours de la vie, le mercure s’accumule dans l’organisme : c’est un toxique bioaccumulable.
Rejeté dans l’environnement, il s’y accumule aussi : c’est un polluant persistant qui se concentre tout au long des chaînes alimentaires aquatiques sous sa forme méthylée, contaminant les poissons carnassiers (bioamplification).


LES AMALGAMES, PREMIERE SOURCE D'EXPOSITION AU MERCURE

Les amalgames dentaires sont composés pour 50% de mercure métallique, et représentent la 1ère source d’exposition à ce métal dans les pays développés.


Il est reconnu que le mercure :

  • est libéré par les amalgames puis s’accumule peu à peu dans les organes (cerveau, reins...),
  • traverse le placenta et imprègne les organes du fœtus puis du nourrisson,
  • contamine le lait maternel.


Les porteurs de nombreux amalgames ont en moyenne 10 fois plus de mercure dans leur cerveau que ceux qui en portent peu (Guzzi, 2006).

De nombreuses études permettent de suspecter un lien entre l’emploi de l’amalgame et des maladies chroniques dans les pays utilisateurs (maladies neurodégénératives, maladies autoimmunes…).

L'ASSOCIATION NAMD :

Réfute :
le rapport officiel français (Afssaps 2005) sur les amalgames dentaires qui conclut à leur innocuité et recommande leur usage pour tous les français, y compris les femmes en âge de procréer et les enfants.


Demande :

  • l’interdiction rapide des amalgames dentaires, comme l’ont déjà décidé la Norvège, le Danemark et la Suède,
  • la reconnaissance de l’intoxication aux métaux dentaires de nombreux Français et une prise en charge adaptée des malades (détoxication)



A l’heure où l’Union européenne s’apprête à faire appliquer l’interdiction de l’importation et de l’exportation du mercure dans tous les pays membres et où le mercure est en voie d’être abandonné dans toutes ses applications industrielles au niveau mondial, pourquoi persister dans cette folie qui consiste à placer un si puissant toxique dans la bouche des humains ?

Celle-ci sera-t-elle l’ultime endroit où l’on pourra encore stocker ce métal à la toxicité redoutable ?



PROTECTION NECESSAIRE LORS DES TRAVAUX

 


Toute intervention sur un amalgame dentaire (dépose ou fraisage avant une pose de couronne par exemple) comporte des risques graves en raison d'une libération de vapeurs de mercure en quantité importante.

C'est pourquoi nous ne préconisons pas de systématique dépose des amalgames, décision qui doit toujours être prise en parfaite connaissance de cause, et accompagnée d'un suivi médical par un médecin "averti".

Toute intervention sur un amalgame doit être faite selon un PROTOCOLE très strict précisant toutes les précautions à prendre. (voir aussi le protocole préconisé par l'IAOMT)

Par ailleurs, nous ne préconisons aucun traitement de désintoxication en particulier, mais informerons au mieux (y compris sur les éventuels risques) en nous appuyant sur des publications scientifiques.

Nous signalons le danger que représente toute auto-médication avec des chélateurs de métaux dits lourds ; ceux-ci nécessitent un avis et un suivi médical durant toute la période du traitement.

En aucun cas les informations générales délivrées sur ce site ne doivent être interprétées comme des prescriptions médicales.


HISTORIQUE

 

L’association NON AU MERCURE DENTAIRE (NAMD) a été créée en mars 1998 autour du Dr Melet, médecin épidémiologiste, par un petit groupe de scientifiques et de patients intoxiqués aux métaux dentaires.


Double mission de NAMD

Dès sa création, les 2 principales missions de NAMD sont l’alerte sanitaire et le soutien aux personnes intoxiquées. Avec peu de moyens, l’association tente d’informer le public sur les problèmes de santé liés aux métaux dentaires (notamment via une pétition qui est rapidement signée par des milliers de personnes), de mettre en relation et de soutenir les victimes portant plainte pour empoisonnement et de prendre contact avec les autorités françaises et européennes afin qu’elles imposent aux fabricants des tests de toxicité.

Dépôt de plaintes (1997)

L’exemple de l’Allemagne (procès Degussa) a été suivi : une cinquantaine de patients soutenus par l’association déposent une plainte au pénal (contre X, pour empoisonnement aux métaux dentaires). Pour des raisons de territorialité, le procureur et le juge d’instruction décideront en 2001 d’annuler la plupart de ces plaintes.

Rapport du CSHPF (1998)

L’alerte sanitaire lancée par le Dr Melet et l’association NAMD et relayée dans la presse, en mars 98 dans Marianne et avril 98 dans  l'Humanité  les nombreux courriers envoyés par LRAR aux autorités sanitaires et surtout les questions écrites des parlementaires à l’Assemblée Nationale ou au Sénat (la première par Claude Huriet le 23 oct 1997) poussent les autorités sanitaires à mettre en place, fin 1997, un groupe de travail sur les risques liés aux amalgames dentaires, au sein du conseil supérieur d’hygiène publique de France (CSHPF). Le rapport du CSHPF  sort en mai 1998.

Demande d’enquête parlementaire et rapport de l’OPECST (1999 – 2001)

L’association est à l’origine de la demande de constitution d’une commission d’enquête parlementaire sur les amalgames dentaires par André Aschieri (1999), demande rejetée par les parlementaires, qui ont préféré saisir l’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST). L’Office élargit la problématique à l’ensemble des "métaux lourds". Le Docteur Melet est auditionné par le rapporteur Miquel en juillet 2000 et envoie à l’OPECST le compte-rendu écrit de son audition. L’Office remet son rapport sur les "métaux lourds" en 2001 (lire les commentaires de NAMD), dans lequel le nom du Dr Melet ne figure pas dans la liste des personnes auditionnées.

Signalements d’incidents (2001 - 2003)

L’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps) reçoit une centaine de signalements d’incidents relatifs à l’amalgame dentaire émanant de patients et de praticiens (médecins ou dentistes), suite à un important travail d’un administrateur de NAMD sur ce dossier. Pendant 2 ans, l’Agence n’enregistre pas ni n’évalue ces signalements, contrairement à ce que prévoit la réglementation française de matériovigilance.

Expertise officielle française sur les risques liés à l’amalgame ( AFSSAPS - 2003-2005)

Devant l’insistance de nombreux auteurs de signalements et de celle de l’association Non au mercure dentaire (NAMD), et suite à l’intervention du Directeur général de la santé que l’association rencontre en mars 2003, l’Afssaps doit organiser un Audit pour "faire le point sur l’amalgame dentaire". Elle met en place en août 2003 un groupe de travail constitué de 14 experts, qui rend oralement ses conclusions en décembre 2003, puis son rapport écrit en octobre 2005, assorti de recommandations. Quatre sur ces quatorze experts n'ont pas participé aux séances et ne sont pas signataires de ces recommandations finales.

Ce Rapport a été soumis à une étude détaillée, menée par la conseillère scientifique de l'association. Ce travail a donné corps à une critique argumentée qui a valeur de réfutation de cet audit officiel français.
(cf. onglet "Dossier sanitaire /France/Rapport de l'AFSSAPS")


Août 2005 : tragique disparition du Dr Melet

Le combat continue

L’association NAMD poursuit le combat de ce courageux lanceur d’alerte pour la santé publique, tout en redéfinissant ses missions.(Voir rubrique "Missions")

 

  • Amalgames dentaires : Danger mercure !

Cette vidéo apporte une preuve en images de la nocivité du mercure à très faible dose dans le cerveau : responsable de neurodégénérescence, le mercure des amalgames dentaires est un poison méconnu.
Expérience et vidéo de la Faculté de Médecine de l'Université de Calgary, sous-titrée en frnaçais.

>http://www.dailymotion.com/video/x6kx2a_amalgames-dentaires-danger-mercure_tech

 

  • E=M6 amalgames dentaires et mercure

>http://www.dailymotion.com/video/x5ib1j_e-m6-amalgames-dentaires-et-mercure_webcam

 

La controverse sur les amalgames dentaires... c'est étrange de mettre un métal hypertoxique dans la bouche des gens et de dire qu il devient tout d un coup inoffensif
Attention la chlorella tant vanté pr se nettoyer du mercure pourrait bien s'avérer aussi être un polluant de l'organisme, justement a cause de ses propriétés d'absorption des métaux lourds.
De plus les ampoules fluocompact basse consommation sont pleines de vapeur de mercure, éviter donc de vous les casser sous le nez.... intoxication garantie. Les industriels ont bien oublier de nous le dire...lutter contre le réchauffement climatique en prenant le risque d'être intoxiqué au mercure et de se fabriquer un futur Alzheimer... étrange dilem




16/10/2010
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